@pallas
ben en fait, il n’y a pas de différence... car c’est par les failles de la nature humaine que les pouvoirs totalitaires nous manipulent. Tout simplement.
Maintenant, ce n’est pas parce-que les humains ont des failles, qu’ils sont entièrement résumable à ces embrigadements. De même que le drogué n’est pas résumable à sa drogue (même si parfois faut avouer que ça en à bien l’air).
Il ne faut pas avoir une vision manichéenne de la nature humaine : ces visions manichéennes de la nature humaine sont souvent promues par les artistes bourgeois et l’industrie culturelle capitaliste, afin de nous donner une image dégradée de nous-mêmes et des autres humains. C’est le « no future ». Et ça permet donc de justifier le monde pourri du capitalisme, sur cette équation : « puisque la nature humaine est mauvaise, alors il est légitime que le système social soit également mauvais ».
Il faut adopter une vision plus réaliste de la nature humaine : une vision nuancée. Avec des raisons de lutter, et certaines limites infranchissables. Mais ce n’est pas parce-que la mort gagne toujours à la fin, que le médecin renonce à soigner le malade.
Concernant les processus totalitaires de la société de consommation (dont la musique pop), les neurlogues, les artistes, les sociologues, les publicitaires, les politiciens, les addictologues connaissent parfaitement les mécanismes de la nature humaine qui sont utilisés pour obtenir ces phénomènes aberrants. Aucun mystère là-dessous.