@Clocel
Mal nommer les choses, ou mal les définir, ne pas, ne plus les définir du tout, ou en oublier leur définition, tout réduire à la chose pour la chose, à la chose imbécile, comme le fait la méthodologie dite de l’individualisme méthodologique rationalo technoscientiste, ou son pendant le positivisme technoscientiste du « comment sans le pourquoi » … c’est ajouter au malheur du monde !
Comment s’y retrouver dans un tel non-sens commun : un tel manque d’entendement ?
Qui se soucie des acquis intellectuels du 20 è siècle ou encore du principe cognitif de Pascal ? Qui enseigne cela pourtant essentiel, même fondamental en termes de savoir ?
Qui, dans cette époque de fuite en avant rationalo économico technoscientiste, totalement paranoïaque et schizophrénique ; qui se soucie de ce nouveau savoir, combien lucide, éclairé, issu de la nouvelle physique, la quantique ? Un nouveau savoir, qui bientôt aura un siècle, et qui limite la connaissance, tant dans le domaine du « raisonnement » avec le « théorème d’incomplétude » de Gödel et Chaitin, ou le « théorème d’incertitude » d‘Heisenberg, que dans celui de « l’action » avec le « théorème d’impossibilité » d’Arrow qu’il convient de relier au principe cognitif de Pascal « toute chose étant … il est impossible de comprendre le tout sans … » !
Aussi à l’impossibilité de la perfection ; il y aurait ainsi une impossibilité de poser un algorithme d’optimisation dans les problèmes humains car la recherche de l’optimisation dépasse toute puissance de recherche disponible et rend finalement non optimale, voire pessimale, la recherche d’un optimum. On est ainsi amené à une nouvelle incertitude entre la recherche du plus grand bien et celle du moindre mal.
Qui s’en soucie ? Tapez, « acquis intellectuels du 20 è siècles » ou « principe cognitif de pascal » sur GOOGLE ; il y a, là, un vide sidéral, et pourtant tout est là pour une meilleure compréhension des choses, physiques comme métaphysiques humaines !