@Ar zen
Décidément, vous ne comprenez rien à rien ou vous le faites exprès...
Un conseil national de transition est un outil juridique reconnu en droit international qui appartient à chaque être humain de cette planète s’il considère que le territoire dans lequel il réside n’est plus gouverné selon les principes reconnus par la déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen de 1789 et qui a valeur supra légale.
Que ce soit en Allemagne, au Guatemala ou ailleurs. Et il se trouve précisément que c’est en France, pays des droits de l’homme-il me semble que je n’invente rien...- qu’un collectif a crée un conseil national de transition le 18 juin 2015. Un conseil national de transition n’est la propriété de personne et il est évident que tout est à créer et peu importe que ce soit 35 français,450, 8200 ,135421 ou 1.253.745 qui revendiquent cet état de fait, ce conseil de transition est le seul organe légitime en France dans la mesure où le pays n’a plus de constitution.
Ce n’est tout de même pas compliqué à comprendre.
Dans la mesure où il y a eu un coup d’état en France le 5 décembre 2016 et des élections présidentielles en mai 2017, où est la difficulté pour comprendre que sans constitution il ne peut pas y avoir d’élections valables ?
Si ces élections sont illégales, le président est illégitime et dans un tel cas de figure l’article 35 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 reconnaît très clairement le droit de résistance à l’oppression, ce d’autant plus que l’article 2 précise sans équivoque que le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles.
Il se trouve donc qu’actuellement la France n’a pas de gouvernement légitime. Et il est donc logique que des citoyens prennent les devants et réagissent.
Si les autres somnolent, dorment ou se résignent à se faire dépouiller de tout ce que leurs aïeuls ont acquis suite à d’âpres luttes, il semble que ce collectif qui a décidé de revendiquer ce conseil national de transition n’ait pas l’ intention de se laisser faire. Et c’est son droit le plus strict.