@baldis30
Sauf, Baldis, que membre d’un collectif, j’ai eu souvent l’occasion de constater – eh oui, constater – que des personnes soudain se sont senties mal, très mal, et ont pu déterminer que le seul changement dans leur entourage était une pose de Linky dont elles n’avaient parfois jamais entendu parler avant.
Plus vicieux : dès que ces personnes-là vont se reposer (car le sommeil est souvent exclus pour ces personnes malgré des somnifères parfois puissants) dans une zone sans Linky, tous les désagréments cessent au bout de quelques heures. Ils reviennent dès que l’environnement est à nouveau « sale » électromagnétiquement parlant.
Non, pour couper court, ce n’est pas le compteur en tant que tel qui est en cause, c’est le CPL qu’il envoie partout, parmi tous les fils électriques du logement qui ne sont pas prévus pour cela. Et le CPL, c’est n’en déplaise à ENEDIS un échange permanent entre le concentrateur et tous les CAPTEURS qui lui sont reliés, pour être sûr qu’ils sont bien opérationnels. Ce ne sont pas « quelques secondes en pleine nuit », comme l’affirment les prêtres de ce nouveau gourou.
On ne sait pas actuellement à quelle cadence sont effectués les vrais relevés de données (on sait seulement que ceux fort peu nombreux qui ont un compte pour interroger ces données chez leur fournisseur peuvent les consulter avec un délai de 24 heures, ce qui ne veut plus rien dire), mais électromagnétiquement parlant cela ne changerait sans doute pas grand-chose en tant que désagrément pour les EHS. En revanche, pour la surveillance, oui, bien sûr, puisque ce relevé peut éventuellement se faire ACTUELLEMENT déjà toutes les dix minutes.