La question n’est pas qu’« ils » ne supportent pas le vote blanc.« Ils » ne supportent rien qui ne soit conforme à leur vision hégémonique du monde dont ils ont le contrôle absolu grâce à leur système financier.
Le problème n’est donc le vote blanc -bleu ou gris- mais plutôt le fait que la démocratie n’a jamais existé sur cette planète...
Il est pour le moins curieux d’attendre une bénédiction de la part de chantres de l’oligarchie qui ont prouvé, actes à l’appui qu’ils ne tolèreront jamais d’alternative à leur domination.
La solution ne consiste donc pas à proposer à ces dirigeants d’entreprises dont chacun sait qu’ils ont la main sur la gestion de leur société dans le but d’une maximisation des gains quoi que ce soit qui puisse remettre leur gestion et leurs intérêts en cause et encore moins d’attendre de leur part la moindre réponse qui n’entre pas dans le cadre de leur objet social...C’est d’ailleurs en ce sens qu’il faut comprendre la position du président direction général de la société « république française présidence » lorsqu’il oppose une fin de non recevoir à tous ceux qui estiment avoir un droit de regard dans les affaires de la société en question.
Il est néanmoins hilarant d’entendre leur réponse à la proposition d’un vote blanc :« le vote blanc deviendrait un outil de dévoiement de la démocratie ».Surtout quand de démocratie il n’y a jamais eu !
La solution consiste à reconnaître la situation telle quelle est, c’est-à-dire l’existence d’entreprises diverses et variées, nationales et internationales dont le but est la « gestion des ressources humaines », des ressources naturelles et dont les objets sociaux diffèrent selon les états.
Ni plus, ni moins, tout le reste étant de l’enfumage et de la représentation théâtrale afin de mieux dissimuler aux populations respectives qu’elles ont été dégradées à jouer un rôle subalterne afin que les dirigeants respectifs en charge des affaires mondiales aient la voie libre pour la gestion de leurs affaires publiques.
La meilleure solution aux problèmes résultant de cette situation devenue délétère à force de faux-semblants des uns et des autres consiste donc à créer les alternatives attendues ce qui est d’ailleurs le cas dans bien des endroits même elles ne sont évidemment pas rapportées par les médias des dominants qui n’ont aucun intérêt à voir s’émanciper les moutons pour lesquels ils construisent les bergeries et choisissent les bergers afin de faire prospérer leurs commerces respectifs.
C’est ce qu’ont compris de plus en plus de gens qui commencent à créer de nouveaux outils pour organiser l’alternative. C’est le cas du collectif qui a crée le conseil national de transition de France le 18 juin 2015 qui est un outil juridique reconnu par le droit international pour impulser une nouvelle dynamique à l’intérieur d’un pays.
Toutes les informations figurent sur son site.
Il est donc vain inutile d’attendre l’aval d’individus dont le dernier des soucis est l’intérêt commun dans la mesure où il n’en a jamais été question en droit des affaires, les lois n’étant rien d’autre que des contrats tacites entre administrés et administrations afin d’assurer le fonctionnement des sociétés (entreprises) respectives.
Ceux qui avancent plus ou moins régulièrement le modèle allemand sont sans doute loin de s’imaginer que New Germany a été enregistrée au Delaware en 2005 et sans doute ignorent-ils aussi que la république que préside l’associé-gérant des Rothschild est immatriculée auprès de la SEC américaine et qu’elle a été créée un jour de l’élection, celui du président Auriol, le 6 janvier 1947, la preuve sine qua non que les états ne sont rien d’autre que des sociétés commerciales qui se sont accaparé la gestion des ressources territoriale année après année, guerre après guerre, traités après traités, élections après élections.