@xana
Bonjour Jean Xana,
Je voulais dire qu’aujourd’hui on ne parle plus d’Alibert alors qu’ils s’agit d’une aventure concrète et passionnante.
Il y a des choses que l’on peut voir au CNAM et à l’Ecole des Mines. J’en apprends un peu plus tous les jours. Le papier de Nick Fielding m’a donné l’occasion, dix ans après, de sortir d’une certaine léthargie tout en rappelant des souvenir fort.
Il y a cet album au CNAM qui est somptueux. Tappez « Alibert » dans la case recherche : https://phototheque.arts-et-metiers.net
Ce que vous avez vu à l’Ecole des Mines doit être ce qui a été présenté à l’Exposition Universelle de 1889 https://art.rmngp.fr/fr/library/artworks/jean-pierre-alibert-section-russe-exposition-universelle-de-1889
Ceci est bien décrit dans l’ouvrage accessible en ligne : La mine de graphite de Sibérie découverte en 1847 par M. J.-P. Alibert, Paris, Poitevin, 1865.
La matière devient plus accessible qu’en 2008, lors de mon retour. Je ne suis pas parisien mais je ferai le déplacement pour voir tout ça. Vous avez très bien fait d’en parler. A vrai dire, passant à Nuremberg, j’avais cherché à aller chez Faber Castel mais ils n’étaient guère enthousiastes. En réalité, s’ils se sont servi de la notoriété du graphite d’Alibert, je ne suis pas certain qu’ils ont été parfaitement honnêtes, si l’on en juge par leur correspondance. C’est un point à creuser.
Bien cordialement
Bernard Grua