@Luc-Laurent Salvador
Merci pour
cette réponse plus froide et moins pavlovienne.
Le problème
n’est pas un problème de statistiques, et il ne s’agit pas
d’erreurs mais de mensonges aux graves répercusions géopolitiques
potentielles.
Dès lors
qu’on s’aperçoit que statistiquement un auteur ment de façon
flagrante (sans jamais s’excuser, et se justifiant comme étant la
victime d’un complot) à intervalles réguliers de la sorte (voir par ailleurs ses nombreux et énormes mensonges sur les attentats du 13 novembre, révélés par mes soins), même
si par ailleurs il peut dire des choses pertinents (comment serait-il créible un instant autrement ?) il doit être
considérer comme piégeux, duplice, et donc à éviter à tout prix,
le risque étant trop élevé de se faire prendre au piège d’un
canular semblable aux nombreux cas flagrants que je dissèque dans
cet article.
Remarque de M. Chaouachi, principal contributeur de cet
article) : « Je
n’ai rien contre les gourous. Au contraire, voyez en Inde par
exemple, ils ont contribué à sauver du désespoir des millions de
gens. Certains sont intéressés et défendent leur école. Mais la
seule condition est de ne pas mentir. Quand un gourou a menti, c’est
fini pour lui. Le pire de tout reste son commentaire assassin sur
l’interview de Qaddafi avec F24 parce qu’en l’occurrence, n’importe
qui peut le vérifier en allant cliquer sur le lien. Mais les esprits
sont tellement conditionnés ou tétanisés qu’ils ne le font pas. »
Maintenant,
comme le dit Meyssan lui-même dans son livre : « La
psychologie humaine est ainsi faite que, même lorsque nous en
découvrons les preuves, nous avons du mal à reconnaître nous être
fait manipuler » (Meyssan, Sous
nos yeux,
p 203)
J’admets
donc qu’il est difficile pour un croyant
de passer d’un coup au plein esprit critique. Mon cher Laurent
j’ajouterais tout de même : votre foi (vous vous qualifiez vous-même de « fidèle » vous aveugle.