@Ben Schott
La femme est aussi potentiellement une mère et gardienne de la perpétuation de l’humanité. Lire : La sexualité féminine de Janine Chasseguet-Smirgel. et Grunberger. Le problème de l’éthique féminine est complexe. Pour Freud, la femme, proche de la nature, donc sauvage et instinctive n’avait pas de conscience morale (dirigées par leurs hormones,...). Par contre la femme, plus fondamentalement masochiste et confrontée dès sa jeunesse à l’expérience de l’attente et donc de la douleur est aussi plus empathique (elle n’est pas la préférée, en général de la mère, n’étant QUE une fille, ni valorisée par la société, plus fondamentalement patriarcale). Toutes les femmes ne sont pas Michelle Martin,.....Les hommes ont plutôt tendance à se méfier du « sentimentalisme » qu’ils assimilent à une faiblesse. Le déni de la souffrance d’autrui leur est par conséquent plus confortable. C’est bien là le paradoxe. La femme « éthique » représentante la LOI du père (ATHENA) que l’homme répugne généralement à incarner. Dit autrement : la femme est la mieux placée pour incarner l’éthique. Elle les grandes figures de l’éthique restent de Femmes : Minerve, Athéna, Le MAAT, ISIS. la GRANDE MERE UNIVERSELLE qui régit le cosmos. D’ailleurs LA LOI est féminine. C’est souvent le cas dans les famille juive, raison pour laquelle la transmission se fait par la mère. L’auteur a tort quand elle en fait une généralité, mais a raison sur un plan symbolique ;