@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Certes, mais cela a pris deux siècles.
Les femmes avaient le droit de vote sous certaines conditions, comme du reste les hommes sous l’ancien régime.
Les révolutionnaires, puis les républiques et enfin le front popu. ont toujours évité de le leur restituer car « ces idiotes auraient voté comme les curés » disaient ils ; Il a fallu le retour au pouvoir d’un homme de tradition monarchique pour que nos femmes se voient restituer leur droit.
C’est comme aujourd’hui. des hommes progressistes ont célébré la liberté sexuelle du renard libre dans le poulailler libre, la beauté du divorce librement voulu ( à 80% par les femmes, pensent elles...) pour laisser tomber leurs épouses et mères de leurs enfants, en leur faisant croire qu’obtenir la garde dans les divorces ( 80% des cas ?) était une libération supplémentaire et une grande victoire et , pour leur compte convoler avec des plus jeunes.
Depuis quelques temps, on a des révélations sur les abus sexuels assez systématiques de mecs toujours progressistes et féministes avérés.
Serait ce du reste une des raison des proximités nouvelles entre progressistes et musulmans ? Des comportement au fond assez proches avec les femmes sous des dehors formellement radicalement inverse ? Il y a une piste de réflexion...
« L’émancipation » féministe, a permis en pratique aux hommes progressistes de vivre une polygamie étalée dans le temps, sans les inconvénient d’avoir à se préoccuper trop de la « vielle ».
C’est statistiquement prouvé. les nouveaux pauvres sont souvent des femmes plaquées qui on eu la garde.
C’est dans les milieux progressistes que l’instabilité du couple est la plus forte. Et cela aussi, il le présente comment une liberté émancipatrice pour tous le monde.
A la fin, c’est nous qu’on paye ; les aides aux femmes isolées, souvent sans pension, les logements sociaux, les mineurs paumés et en crise faute de père, etc...
Si au moins ils pouvaient nous foutre la paix ; Nous laisser vivre comme nosu voulons.
Mais non ; Leurs échecs seraient avivés de constater qu’une autre vie est possible ; d’où leur agressivité destructrice avec ce qu’ils nomment la « famille traditionnelle ».
Parce que chez ces gens là, l’absence de famille, sa destruction, on appelle cela d’ autres types familiaux...
A travers cet hommage du vice à la vertu aussi on sent la souffrance.
Qui sommes nos pour juger ; A nouveau, l’important, est de conserver ses distance. de les laisser vivre comme ils veulent, même si cela coûte cher à la société au détriment des vraies pauvreté, et de protéger sa propre famille.