Bonjour,
« JE » suis un fonctionnaire de la république corrompue et vacillante, toujours a mon poste.
J’accomplis lentement, j’optempére âpres de nombreuses relance, de mauvais grès, ou pas.
Je quitte mon poste quant ca fait le plus chier. Je passe longtemps a chier, absent de mon poste.
Au moindre doute, il faut verrifier, il faut contacter qui de droit, celui qui est en vacance, et qui est assermenté. La prudence est mère de sûreté, laissons cela quelques semaines de coté.
Je temporise l’urgence, je discute les ordres, je ne bouge pas, je bouge au contraire. Je me tire.
Si on me braque, on me menace, je suis terriblement choqué, si on me brusque, je suis outré !
La nuit j’déboulone, je crame et je scie, les chaines publicitaires qui entravent ma patrie.
Je fait de la magie noire, je fait de la magie blanche, je désinforme et bien sur, je ment.
J’ai pas de syndicat, j’ai pas de parti, j’ai pas de représentation, je crois pas a la révolution.
Mon travail de sur-vérification minutieux, de planification beaucoup trop méticuleux, bloque les administrations. Elle sont perdues dans leurs papiers, noyé dans leurs bases de données.
Le tribunal expédie des affaire courante en mode industriel, avec un taux d’erreur magistral, mais passe 5 ans a instruire une ânerie pour 750 heures, sans tondre le moindre rond au final.
Le trésor balance des recalculation complétement aléatoire, quitte, double et cent, pour les même entre trois voisins identiquement lotis. Les soldats ne touchent pas toujours leurs primes.
Je sais parfaitement ce que j’ai fait, je sais très bien que l’administration a la quelle j’ai consacré ma vie ne pourra pas être sauvé, dois étre détruite. Sans paranoia, aurais-je pu tenir tout ce temps ?
« JE » suis un serviteur du peuple, et j’ai tout fait pour pour rendre le monstre LENT.
Abattez-le avant qu’il ne se vautre sur le pays bruyament et a grand frais, et ne vous en faites pas pour moi, il faut bien que quelqu’un verse la goute de trop, et il n’y a que moi qui sache le faire.
Asertivement ++