@Fergus Bonjour inspecteur
Bien des points communs entre Kerr et Mankel, tout autant pourtant que leurs héros : Bornés dans leur leurs enquêtes, n’hésitant pas à s’opposer à leurs hiérarchies, remontant le passé, avec des zones d’ombre qui remontent en eux. C’est le point commun c’est vrai, à beaucoup d’auteurs de polars actuellement. Mais le regard noir que Mankell pose sur la société suédoise, à travers Willander son enquêteur qui lui semble sombrer est sans doute moins justifié que celui de Gûnther, celui de kerr : Cet auteur possède à mon avis un bon sens de la narration, et ses enquêtes représentent bien des pages histoires : La conférence de Wansee, le massacre de Dantzig sont ainsi explorés, par cet inspecteur SA...On apprend ainsi que les inspecteurs de la KRIPO, la polices judiciaire furent reversés ainsi automatiquement dans les corps nazis.
Les polars de Connely, évidemment sont des classiques appréciés toujours sur LA, avec Bosch, un dur à cuir au coeur tendre, et qui est dans la tradition du justicier solitaire cher au mythe. Les intrigues, comme celle du « poète », sont redoutables, et livrent une vraie saveur sur a ville des péchés. Dans le même ordre d’idée, j’ai lu ce livre étonnant, renversant, sur la ville, ses tâches, qui a été écrit par un enquêteur à la retraite qui révèle le vrai meurtrier du « Dahlia noir » sujet traité par Elroy : Son propre père.
L’affaire du Dahlia noir élucidée par Steve Hodel ? - Le Salon LittéraireBien sûr, les vieux roman d’Upfield au travers le continent australien, faisant pionnier en matière d’écologie et d’immersion policière sont vraiment très bons, plus sweet, car écrits entre les années 30 et 60...Les polars moyenâgeux de Paul Doherty sont très intéressants eux aussi.