’’le trafic aérien civil s’est grandement accru, et ses altitudes sont
contraintes par les contrôleurs militaires, à même de donner des
interdictions aux contrôleurs civils (pour réserver tel étage à tels
exercices militaires). Ce trafic est de nos jours intense, presque
exclusivement motorisé par turbo-réacteurs, et à altitude préférée de
dix mille mètres, pour l’économie de carburant. Mais les contrôleurs
militaires peuvent confiner plus bas le trafic civil. Et là, voilà que
les condensations issues des turboréacteurs peuvent fournir les germes
de condensation, et que la sursaturation ambiante peut alimenter des
cirrus persistants, de taille et de poids des centaines de fois (voire
milliers de fois) supérieurs à ce que l’avion avait laissé derrière lui’’.
’’Le problème est que les riverains de ces conditions spécifiques de front
chauds sans marqueurs spontanés, avec seulement des marqueurs d’origine
aviatrice, se sont mis en grande colère, et ont accusé un complot
mondial, mettant en jeu toute l’aviation civile de tous les pays pour
des épandages « chimiques » malveillants, dont ces cirrus seraient « la preuve ».’’
@JCL,
ce que vous dites ici donne à penser qu’il n’est nul besoin d’épandre des produits chimiques : la nature et les avions se chargent de faire le travail, et au delà de ce que ne sauraient faire des épandeurs à la sauvette.
C’est ici qu’il convient de citer cette journaliste de radio qui disait candidement ’’ : « Calculer le coût des conséquences du changement climatique ça revient à calculer le coût de l’inaction ».
Un tel état d’esprit révèle non pas une préoccupation écologique,
mais une volonté de justifier des budgets et subventions en faveur de la
géo-ingénierie, une aberration contre nature délibérément mise en œuvre.Et ça c’est une réalité, pas un fantasme.