Le
camarade Chavez - assassiné par les barbouzes étasuniennes - a tout de même de très belles choses à son actif.
D’abord il a foutu dehors les compagnies pétrolières rapaces
étazuniennes et européennes pour rendre à son peuple le profit de
cette manne pétrolière sur laquelle son pays, le Venezuela, est
assis. Ensuite il a mis ces masses énormes de pognon récupéré au
service de son peuple : éducation, santé, réduction des
inégalités, élimination de la grande pauvreté. Enfin il a suscité
partout en Amérique du sud des mouvements de libération politique
de gauche qui se débarrassent enfin de la mainmise ultralibérale
des multinationales et des officines étazuniennes.
Le
succès de Chavez, une révolution en construction, c’est son pays
décrété « territoire libre d’analphabétisme » par
l’Unesco en 2005, c’est près de 60.000 nouveaux établissements,
55.000 enseignants incorporés cette année, 75.000 bibliothèques,
un accès gratuit à la santé avec la coopération de Cuba, la
création de dispensaires et de médecins dans les banlieues et le
secteur rural, la production nationale de médicaments génériques
gratuits, 178.000 Vénézuéliens pauvres récupérant la vue
grâce à la mission « Miracle », le traitement du Sida
gratuit, 4 millions de personnes engagées dans le sport, la
reconnaissance des peuples indigènes, la distribution de terres aux
paysans, 3 millions d’hectares distribués, des pensions de
vieillesse à plus de 20.000 agriculteurs et pêcheurs qui ont
atteint l’âge de la retraite sans avoir cotisé, la
nationalisation des secteurs de l’économie qui, adossée à la
hausse des prix du pétrole, ont généré d’importants revenus
dont bénéficie la majorité de la population.
Il
va de soi que de telles réalisations au profit du peuple n’ont pu se
faire qu’au détriment des parasites. On comprend dès lors que
ceux-ci veuillent se débarrasser de Maduro, cet empêcheur de
magouiller en rond...
Enfin, le Vénézuela possède les premières réserves de pétrole du monde, à quelques jours de tankers des USA. Et ce pays rapace n’a jamais toléré dans son « pré carré » des gouvernements issus du peuple et qui osent leur faire front. Alors, tenter d’assassiner Maduro, ce n’est que routine... Mais ils sont trop nuls pour réussir (« ils » ont tenté plus de 300 fois de se débarrasser de Castro, sans succès.)
Merci Alinea pour et article sortant du bourrage de crâne habituel de nos merdias possédés par neuf milliardaires.