@V_Parlier
S’agissant de la dette il faut examiner son emploi. Une partie de la dette occidentale est affectée à des schémas de Ponzi qui dureront jusqu’à ce que la base de la pyramide ne s’écroule ou qui sont éparpillés et dilués dans des produits dérivés toxiques afin de répartir les pertes et de passer la patate chaude. On a vu cela en 2008. Une dette affectée à des investissements est sans comparaison plus vertueuse. Il est important aussi d’examiner les détenteurs de la dette notamment la part étrangère (exemple des Abenomics japonais. En occident les liquidités finissent en survalorisation d’actifs (au rapport douteux avec les fondamentaux) et en paris sur les dérivés qui comme le disait Maurice Allais est un jeu de casino interne bien qu’il ait des répercussions parfois désastreuses (en tant qu’indicateurs suivis par les moutonniers ou spéculateurs) sur des valeurs réelles ou des matières premières. D’où l’effondrement de l’arlésienne du fameux ruissellement qui n’a jamais fonctionné qu’à l’envers : de l’aval à l’amont.