Entendu sur France Inter ce matin.
Hulot hésitait, n’arrêtait pas de dire qu’il aimait ce
gouvernement, et bien sûr, parmi ceux qui le composent, le premier, l’estimable
majordome de la banque Rothschild… mais,
quand même, il était bien seul… et que tout le monde s’en foutait malgré cet
été de surchauffe… Ce n’était que longs gémissements – entrecoupés de : « mais
si je vous assure ce gouvernement il est bien… que des intelligents… mais… voyez
dans quel état on met l’Afrique… » blablabla ; « et puis ce lobbyiste
de la chasse inopinément présent à la réunion et qui a réussi à faire passer l’accès
au permis de chasse de 400 € à 200 €… (Ah bon ? Là, j’ai pensé à ma CSG de retraité
! curieux non ?).
J’avais l’impression qu’il n’avait pris aucune décision*
jusqu’au moment, où lassée de ces atermoiements larmoyants, madame Salamé lui
demanda – j’en rajoute, c’est pour égayer ! - : « dis donc guignol,
arrête de chouiner, tu comptes rester longtemps avec ces trous du cul qui te
marchent dessus ? »
Je dis donc merci à madame Salamé qui l’a contraint à reconnaître
que, finalement, tout ministre d’état qu’il fut il ne servait à rien !
J’en déduis que le permis de chasse est plus important que
le pouvoir d’achat des retraités et/ou que le réchauffement climatique et l’agriculture
raisonnée…
*L’aveu fut donné par Demorand ; questionné par un
journaliste qui l’accompagnait jusqu’à l’ascenseur, Hulot reconnut qu’il n’avait pris
aucune décision avant l’interview.