@Spartacus Selon moi vous faites un contresens : écolo-fascistes est le mot qui convient pour désigner les coupables d’écocides.
« Écocide
Un écocide est un acte de destruction ou d’endommagement important d’un écosystème lié à un facteur anthropique1, notamment par l’exploitation excessive de celui-ci dans le but de subvenir à d’autres processus ou systèmes (écophagie). Par exemple, les marées noires, la déforestation des forêts tropicales, l’assèchement de la mer d’Aral dû aux prélèvements excessifs par l’homme de l’eau des fleuves qui la constitue, sont parfois qualifiés d’écocide ou de « suicide écologique ». Ce néologisme est construit à partir des mots écosystème et génocide car il symbolise la destruction systématique et totale d’un écosystème, à la nuance près que cette destruction n’est pas forcément intentionnelle.
Le concept de crime d’écocide est débattu depuis 1947 au sein de la Commission du droit international pour préparer le Code des crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité2. Dans les années 1970, il a aussi été proposé d’inclure le crime d’écocide dans la Convention sur le Génocide de 1948. Mais il a été retiré en 1995 du projet de Code et donc n’a pas été inclus dans le Statut de Rome. Depuis la fin des années 1990, diverses tentatives ont visé à le réintégrer dans le droit international en proposant soit un amendement au Statut de la Cour pénale internationale pour lui permettre d’élargir ses compétences, soit en l’adoptant dans des directives européennes, soit en créant de nouvelles juridictions officielles comme le projet de Cour Pénale de l’environnement, ou par d’autres juridictions, type tribunal moral Russel par exemple. »
« Tribunal Russell
Le Russell Tribunal, également connu sous le nom de Tribunal international des crimes de guerre et Tribunal Russell-Sartre, était un tribunal d’opinion fondé par Bertrand Russell et Jean-Paul Sartre pour dénoncer la politique des États-Unis dans le contexte de la guerre du Viêt Nam. Il a été fondé en novembre 1966 à la suite de la publication du livre de Russell, War Crimes in Vietnam »