Les accusations d’Apartheid, régulièrement formulées à l’encontre d’Israël, ne tiennent pas une seconde à l’épreuve des faits.
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@Massada
Pour qu’il n’y ait pas d’apartheid en Israël, il faudrait quand même qu’un citoyen Arabe puisse s’asseoir dans la rue sur le même banc qu’un Juif. Qu’il puisse fréquenter les mêmes cafés, les mêmes restaurants, les mêmes cinémas, et qu’il ne rencontre pas partout, à l’entrée des jardins publics, des musées, ou des plages de Tel Aviv, des pancartes spécifiant « interdit aux Arabes ».
Le pire, c’est que s’ils sont par exemple victimes d’un accident, les hôpitaux pour les Juifs leur sont strictement interdits : on les laisse crever, misérablement, sur la voie publique, parce qu’ils sont Arabes. Je sais bien qu’Abou Mazen, des membres de sa famille et même des proches d’Ismaïl Haniyeh ont pu être soignés dans des hôpitaux israéliens, mais c’est parce que ceux-là sont des crypto-sionistes extrêmement riches et que cela pouvait rapporter gros.
Je n’irai pas jusqu’à envisager que les Arabes, qui se disent quelquefois Palestiniens et paraissent détester Ieur pays, puissent devenir fonctionnaires ou magistrats, mais ce que je souhaiterais, c’est qu’ils aient au moins quelques droits politiques. Qu’ils puissent voter, par exemple, et qu’on leur concède la possibilité d’avoir quelques députés à la Knesset. Ils se tiendraient sagement dans un coin, en silence. ils ne pourraient pas voter, mais de temps à autres, quand on n’aurait rien de mieux à faire, et pour sauver les apparences de la démocratie, on affecterait de les consulter. Ce serait déjà ça.