Die Linke n’est absolument pas « proche de France insoumise ». C’est un parti de populistes avec une tendance fasciste.
Les partis « extrêmes » en Allemagne n’ont pas d’équivalent en France car bien trop violents (paroles, actes) et incompatibles avec nos idéaux. A côté, le FN ressemblerait à un chaton.
Ceux-ci sont à fond pour gagner les élections (comme Orban en Hongrie) et ont comme cheval de bataille l’endiguement voire la suppression de l’immigration. Et dans des villes où on en a accueilli beaucoup, les possibilités de « recrutement » sont très élevées. Surtout si on considère la misère (qui ne fait qu’augmenter) dans ce pays, cachée par « le miracle Allemand ».
Vous dites que « les Allemands en ont marre de Merkel »...mais elle en est à quatre mandats quand même (presque une dictature mais bon...) ! La vérité, c’est qu’elle change d’avis comme de chemise et qu’elle laisserait entrer le diable si ça servait les intérêts de son pays. D’où une grande popularité car elle sait faire des compromis (en France non par contre).
En ce qui concerne le sujet que vous affectionnez tant, l’immigration, il est parfaitement exact qu’accueillir des milliers de gens sans savoir qui ils sont et connaître leurs motivations, c’est comme laisser un terroriste (non pas Benalla, même si il s’en rapproche !) entrer à l’Elysée.
Le nombre de « nazis » est-il primordial dans ce débat ? Oui, le fait que les partis extrémistes prospère montre bien le malaise des sociétés occidentales qui préfèrent se jeter dans les bras des nazis modernes que de faire des compromis et d’évoluer. Et lorsque je dis « nazis », j’englobe également ceux de la finance (les libéraux qui disent que c’est « le seul chemin possible », ex : Macron et sa joyeuse bande de pieds nickelés) qui nous dictent notre vie et la conduite de l’Etat.
Le mécontentement de la population ne pourra s’apaiser, dans ce cas, qu’avec une « sélection intelligente » et proportionnée. Ce qui évitera un paquet de délits, c’est certain.