Votre serviteur avait écrit deux articles en juin 2016 à ce sujet en prédisant ce qui se passe en écrivant « Les sociétés civiles a Les sociétés civiles allemande et autrichienne instruisent une affaire qui risque de mal se terminer.. Nous avons acquis l’étiquette calomnieuse de nazi pour simplement avoir fait un diagnostic correct. Nous ne le sommes en rien, n’avons jamais lu Mein Kampf et rappelons la phrase de Guillaume II en 1938 »pour la première fois de ma vie, j’ai honte d’être allemand« : le nazisme est un système de pensée qui bien qu’état de droit, nie la validité des dix commandements et notamment son premier : tu ne tueras pas. Un régime de gangsters avec autant de conscience morale qu’un troupeau de porcs. Une haine de la culture et des juifs, un régime condamné justement par le pape de l’époque. Un régime de telle terreur que même soumis à des bombardements massifs de villes, les civils ont eu plus peur du camp que de l’ouvrir.
On ne change rien deux ans après à notre conclusion : »On comprend donc bien les efforts désespérés de ceux qui contrôlent l’UE
de se survivre au besoin par la terreur. On comprend aussi que des
sentiments nationaux ont été sous-estimés. Internet a été aussi sous
estimé. La Grande-Bretagne qui commence à filer à l’anglaise du Titanic,
les pays de l’Est en état de fronde quasi-ouverte et qui fermeront
leurs frontières si ça dérape, la France minée pas des problèmes
structurels bien plus graves qu’elle ne veut se l’avouer à elle-même,
l’Allemagne qui commence à être emportée par une vague de fond
de colère« .
Il est impossible que tous les peuples européens aient tous tort en même temps compte tenu de leur diversité.On est donc bien face aux conséquences d’une instrumentalisation de migrations de masse comme arme de déstabilisation.
Pas de »nazis« mais des citoyens qui ne veulent pas vivre à Chicago ou à East-End égorgés ou violées. »Ordre et sécurité« est leur slogan.
Que les autorités de certains pays décident de regarder ailleurs et d’étouffer la réalité et alors, il est peut-être à craindre que des gangsters avec autant de conscience morale qu’un troupeau de porcs profitent de la détresse et de la rage populaires (laissez-vous tuer et taisez-vous) pour arriver au pouvoir. Un pouvoir a le devoir absolu de mettre tout en œuvre pour protéger la vie de sa population : c’est la base du contrat social.
On dit en conscience avoir fait son devoir de prévision. On n’écrira plus rien à ce sujet car on se trouve manifestement face à un »fait du prince".