Il fut un temps (béni),ou les choses étaient bien plus simple pour tous et surtout pour nos jeunes.
A savoir,que partout ou un jeune évoluait : la rue,l’école, la maison, tout le monde était d’accord sur ce que devait être son attitude. Tu prenais une baffe n’importe ou dans un de ces 3 milieux ...tu avais toutes les chances d’avoir une deuxième couche si tu te plaignais.
Nous évoluions donc dans une atmosphère cohérente et donc encadrée ou chaque adulte était responsable de notre éducation.
Désormais , la rue est contre l’école et la maison,l’école est contre la rue et la maison,et la maison idem.Ci fait que nos jeunes ont toutes les possibilités de naviguer entre ces incohérences et de trouver toujours une porte de sortie ou une adhésion....et ils sont experts dans cette navigation.
Le chauffeur de bus peut ici représentée la maison( à moi en tant qu’adulte ,que père on ne me parle pas comme cela) qui ce retrouve en conflit avec la rue et l’école (en tant qu’institution).
La condition de cette cohérence passée rue,maison,école(institution) était d’avoir le même avis sur un mode d’éducation(ou la punition corporelle était « une variable d’ajustement ») et sur son résultat( être bien élevé au sens collectivement partagé)....Aujourd’hui....Grâce à notre chère Dolto ou aux incompréhensions de ses thèses....chacun a son point de vue sur la question et veut l’imposer au autres....La guerre contre la fessée en ait une preuve absolue....Il faut discuter !!!....Comme si le chauffeur de bus pouvait engager une discussion avec ce jeune Zozo....
Par contre pour ce qui est de Benalla....elle dit quoi la ministre ?