@titi
D’un point de vue strictement économique, le déficit, en l’absence de création de richesses correspondantes, alimente l’inflation qui elle même contribue à détruire l’appareil productif par l’absence d’investissements (et corrélativement le déficit commercial)
ceux-ci étant de facto orientés vers les activités plus lucratives ie : immobilier et autres placements financiers.
Le Brésil, durant ses périodes d’inflation démentielle fut un cas d’école.
Le déficit budgétaire s’avère adapté à certaines circonstances, sur le long terme et en continu, il s’avère toxique pour l’économie et l’emploi.
Cpdt il reste un paramètre de réglage ponctuel de l’économie parmi d’autres.
Le niveau d’activité d’une nation dépend, de nos jours plus que jamais , des flux (prépondérants) d’investissements internationaux (investissements>productivité>compétitivité>balance cciale>emploi) pour peu qu’il de s’agisse pas de rachats concurrentiels d’entreprises qui seront à terme dépouillées de leurs actifs humains, matériels et immatériels ou de pratiques spéculatives.
Ce fut le cas durant les années 2000, à cette époque le gouvernement s’en félicitait.
L’économie demeure une science « ennuyeuse » ignorée ou délaissée par le monde politique au profit de spécialistes chroniqueurs autoproclamés qui occupent le devant de la scène media et les plateaux tbv, de zélotes en tous genres et autres diafoirus.
Tableaux IDE Entrants et Sortants.