« culture et religion sont les derniers repères de ceux qui n’ont plus rien » écrivez-vous.
Oui ! là j’aimerais citer Jaurès, ou était-ce Clémenceau ? à propos de la Patrie qui est le dernier refuge ...
Mais dites-moi, pourquoi devrions-nous accepter ces normes culturelles et religieuses qui ne sont pas , en aucun cas, les nôtres ?
Nos ancêtres ont connu les maladies, les famines, les guerres, les épreuves de toute sorte, la domination de l’Eglise et celle des possédants ...., ils se sont battus, se sont adaptés, ont travaillé, et nous ont légué un pays attractif où il fait bon vivre.
Aux migrants de prendre leur destin en main chez eux. Avec mes plus vifs encouragements !
Vous établissez une relation de cause à effet systématique en affirmant que « c’est dans la précarité et non dans la culture qu’il faut chercher les causes de la criminalité » .... et je ne partage pas votre point de vue.
Que la précarité conduise l’une ou l’autre fois au vol de nourriture ou de vêtements propres et chauds, d’accord ! c’est compréhensible, c’est un réflexe de survie.
Mais le viol naît-il de la précarité ? le vol à l’arraché commis sur des personnes seules, parfois des mamies, est-il suscité par la précarité ?????
A la suite de votre premier opus, j’ai écrit que vous êtes fou. J’en suis toujours pleinement convaincu.
Vous êtes même un fou dangereux prêt à excuser les crimes et toutes les infractions de la part de ces envahisseurs.
Dommage que vous ne soyez pas unE bénévole ( quelque part en Suède par exemple où les « arrivés » ne sont pas à plaindre ) si possible avec un gros cul qui valse à droite et à gauche ; vous pourriez vous faire violer et goûter ainsi « ce qu’on ne peut pas empêcher » .
Vous feriez peut-être partie de ces dindes qui se sont fait culbutées et qui n’ont même pas porté plainte par dogmatisme « droit-de-l’hommiste ».
Regardez derrière vous !