Commentaire de Taverne
sur Le jeu des poses misérables ou « l'égosystème Macron »
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@Christian Labrune
« le moi est un pronom irréfléchi » = le Moi agit de façon irréfléchie. Humour...
Le Moi classique n’avait pas d’individualité : l’artiste appliquait les codes. Lors de la Renaissance le Je a voulu s’affranchir mais la religion chrétienne s’est empressée de le réduire à nouveau au silence : Concile de Trente, Inquisition, classicisme.
Le Moi romantique du XIXème était particulier, il s’exprimait par la douleur du sentiment et une forme d’attrait morbide pour la Mort.
Le Je individualiste est très récent. Il fait suite au « Nous » patriotique voire nationaliste qui a régné jusqu’à 1945. Il manque aujourd’hui un « Nous » valable et transcendant, car le Nous européen ne vaut pas tripette. Faute de cela, ce sera le retour au Nous nationaliste et populiste...
Derniers commentaires
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25/09 19:24 - Christian Labrune
Seul le roi pouvait dire « je ». L’expression à la première personne était réservée (...)
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25/09 11:19 - Taverne
@lala rhetorique Le Je a été soumis à des siècles d’absolutisme monarchique, (...)
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25/09 11:08 - Taverne
@Christian Labrune « le moi est un pronom irréfléchi » = le Moi agit de façon irréfléchie. (...)
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25/09 10:21 - zygzornifle
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25/09 09:08 - lala rhetorique
Les trois derniers présidents ont été proposés et choisis par la finance non pas pour leurs (...)
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24/09 21:09 - Christian Labrune
Ce risque était déjà dénoncé par Pascal quand il disait « le Moi est haïssable (...)
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