@Thot
Bonsoir, Thot.
Bonne analyse.
Chacun suit ses intérêts, effectivement.
M. G. Collomb aimerait mettre toutes les chances de son côté pour tenter de revenir aux affaires dans son « fief », ou sa « baronnie », (mots particulièrement significatifs de l’appropriation du pouvoir et des fonctions électives qui ne surprennent plus personne).Il a compris que le navire de la LREM donnait de la bande, que les cales se remplissaient d’eau et qu’à défaut de le quitter tant que cela lui était possible il pouvait encore éviter de prendre une ou deux torpilles sous la ligne de flottaison, ce que vous résumez bien en parlant d’éviter de couler corps et biens avec la barcasse.
Quant au capitaine, je dirais qu’il est de plus en plus seul sur la passerelle, mème si son fidèle second est encore à la manœuvre pour lui trouver un nouvel équipage.
Lorsque je parle d’intelligence, celui auquel je pense n’en manque pas, même s’il est capable de donner le change.
Sur le fond ; la question est effectivement à revoir au regard du chapelet de propos malheureux dont il est l’auteur et du manque de bon sens catastrophique dont il fait preuve en racontant n’importe quoi, se compromettant à titre personnel ainsi qu’avec la fonction qu’il incarne en s’affichant avec n’importe qui.
La baisse de pression dans les chaudières est quand même survenue très rapidement.
Rien de surprenant à cela.
« Faites vous-même votre malheur », écrivait Paul Watzlawick...
La formule, pleine d’auto-dérision de Clemenceau que vous évoquez garde effectivement tout son sel :
« En politique, on succède à des imbéciles et on est remplacé par des incapables »
...ou des « pas grand chose ».
Il serait temps de changer le programme du spectacle, la carte du restaurant, et de penser à inviter les comédiens à débarrasser le plancher.
Cordialement,
Renaud Bouchard