A l’auteur.
Bonne analyse
Effectivement, sans une prise de conscience des mous de la tête, le désintérêt des
États-Unis envers l’Union ne fera qu’accentuer l’influence et la
mainmise de la Chine sur une grande partie de l’Occident. Face à cette
nouvelle donnée, l’Europe, politiquement dispersée, tirant à hue et à
dia, ne sachant œuvrer que dans l’urgence, ne sera pas de taille à
répondre aux divers appétits qui se profilent à l’horizon. La nécessité
supposée de faire du profit à court terme pour sauver des places de
travail en livrant des armes à des pays qui les utiliseront contre ceux
qui les leur auront livrés est d’une aberration démoniaque et
irresponsable. Les gouvernements nationaux, censés représenter l’Union
Européenne à Bruxelles, mènent une politique hors-sol, sans vision
géostratégique, à rebours du bon sens et sans se préoccuper de l’avenir
des citoyens. Des citoyens qui se trouveront en première ligne lors de
la débâcle programmée.Tous les ingrédients sont réunis pour dynamiter les démocraties. Le
pillage séculaire et insensé du tiers monde et l’inéluctable
réchauffement climatique sont à la veille de déclencher une transhumance
peu commune. Il n’y aura aucune comparaison possible par rapport aux
quelques centaines de milliers de réfugiés dont il est question
aujourd’hui.
Un autre constat soulevant de gros problèmes est celui de
la progression de l’islam radical à travers la planète. Le pouvoir
financier des « Frères Musulmans » est de l’ordre des mille
milliards de dollars. C’est un montant sans aucune commune mesure par
rapport aux organismes de subversion dans le monde. Que font les
instances européennes pour contrer ce fléau en progression constante ?
Réponse : rien, elles l’encouragent.
Français de souche : 1350, chez moi.
« La France vient du fond des âges. Elle vit. Les siècles l’appellent.
Mais elle demeure elle-même au long du temps. Ses limites peuvent se
modifier sans que changent le relief, le climat, les fleuves, les mers,
qui la marquent indéfiniment. Y habitent des peuples qu’étreignent, au
cours de l’histoire, les épreuves les plus diverses, mais que la nature
des choses, utilisée par la politique, pétrit sans cesse en une seule
nation ». (Mémoires d’espoir, tome 1, page 7).
Cordialement,
Renaud Bouchard