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Commentaire de Pierre Sanders

sur Faurisson est mort


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Pierre Sanders Pierre Sanders 25 octobre 2018 03:34

@Pierre Sanders
Nouvelle bobinne., nouveau réalisaetur en deux mots comme en cent : NOUVEAU FILM :

Mon éducatio, comme ma nature intime, m’interdiosent d’aller chercxher sur Interbet, le prix des cadeaux que l’on m’offre. Je vais encore plus loin dans cette dirtectionm : je sais que le pouvroir français a mis en ligne les patrimoins des candiadts à la politique, je considlrais comme aussi indigne d’aller regarder baiser par le trou de leur serrure. Cela, cês dams les circonstance ordinaires.

 

Mais il y des circonstanes extrordinaies. Plutôt que de vous expliquer en quoo elles sont extraordaires je vais doiner un exemple concret. Comme vous vous en souvenet s^rement, ma femme est décédée l’année dernière et comme vous donniez l’impression d’être très attaché(e)s à elle, et que, pour des raisons que j’avais expliquées elles étaient visdoiblement plus affectées, j’ai proposé à ces dames, vos employées donc, de se préparer à me rendre visite à la dat et à l’heiur de leur choix, afin de choisir un souvenir personnel que j’aurais disposé sur la table du salon- salle à manger à leur intension. Si je n’a pas dépassé l’école obligatoire et si mes parents ne sont pas trop préocupé de mon éduction, la nature m’a gratifié – et je lui en suis immnesément reconnaissat – d’une classe que bien d’authentiques aristocratews m’envient, on me l’a rapporté - que je n’exhbe pas, même si je sais qu’lle ne s’use pas.

 

J’en viens à l’objet de ma lettre. Je vous doit un avetissement quand même – je vous ai vu vous pousser du coude, ironiser, se paper la tempe d’un index hilare, quelqu’un a dit « il faut téléphoner à Prangins qu’ils viennent le chercher qu’ils l’inrnent avant qu’il ne morde… Et puis, on sera débarrasset de ce méchant con, qui salue à peine, et qui fait la gueule sans qu’on sache pourquoi »

 

Je ne suis, de loin pas, toujours comme ça. Rappelez donc, à Mme Maria Trepp, comme je la faisait rire, en riant moi-même, en racontant que vers l5 février 1984, j’étais à Chiangraï, _ c’est dans le nord de Thaïlande – quand a éclaté la guéguerre sino-vietnamienne – Je n’avais jamais vu la guerre, à 42 ans, je me trouvais comme puceau, si on veut. J’étais certes né pendant 39-45, en Suisse. Quand j’ai eu trois ans c’était fini, j’avais tout loupé. La guerre de Corée, la guerre d’Indochine, c’étaient des mots à la radio, la guerre d’Algérie même, au début, puisque j’avais 11 ans quand elle a éclatée. Je suivais ça d’une oreille distraite, comme Suisse, je n’étais pas vraiment concerné. Ecoutez, ne vous énervez pas, on est presque arrivé et vous ne serez pas déçus du voyage, je le jure sur la tête de ma femm, enfin, je veux dire de feue ma femme. Comme c’est moi qui reste et à moi qu’il incombe de régler ses comptes. Je le fais avec une jubilation qui vous est inconcevable, comme je paux vous imaginer dans votre vie étriquée, banale, médiocre


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