Avoir peur de lui ?
Probablement pas,
personnalité médiocre, une carrière militaire perturbée suivie d’un long parcours politique de second plan marqué au fil du temps par qqs effets de réthorique caractéristiques des juntes sud-américaines, JB demeure un produit de contre-façon légale.
Que faut il craindre de la « gauche brésilienne néo-libérale » dont les lacunes, manquements et débauches de corruption de ses méritocraties électorales ont conduit direct l’électorat au corral de la droite dure ?
Rien de plus que ce qui émerge en Europe
Qu’aurait-on à craindre ?
si ce n’est la base partisane et active du futur président brésilien,
une justice serpillière, une grande portion du patronat quasi esclavagiste,
le complexe militaro-policier & milices en sommeil, nostalgiques de ses prérogatives perdues,
le nationalisme pour l’heure contenu ses populations,
l’extrême droite d’Amérique latine ne connait pas la demie-mesure.
La chute de la dictature qui sévit au Brésil durant les années d’après guerre coïncide avec l’abandon de son programme nucléaire militaire.
L’Amérique du Sud ainsi que l’Afrique, sont les deux seuls continents ou aucune nation ne dispose pour l’heure d’un arsenal militaire nucléaire.
Etonnamment étrange alors que le Brésil et l’Afrique du Sud, du club des BRICS possèdent d’ores et déjà les technologies, ressources et volonté pour y accéder.