@nono le simplet
Nous vivons actuellement un psychologie des foules sur l’écologie.
Un vrai bombardement à haute dose.
Matin midi et soir vous avez votre sermon écolo sans discernement.
L’argument employé de la propagande joue sur la morale et assoit son autorité sur des « études, généralement statistiques » affirmées comme des vérités et pour les contester, il y a très peu de personnes, pas de médias et ceux qui osent le faire sont des « négationnistes ». En plus cela nécessite de faire une démarche de recherche compliquée.
En général ceux qui n’y croient pas se taisent et font une majorité silencieuse.
Un peu comme les sondages qui donnaient le Pen KO et qui sur ceux qui ne pouvaient pas s’exprimer donnaient leur avis qu’au moment d’un vote tellement s’ils le faisaient dans la vie courante ils se faisaient insulter.
Le lobby écolo dispose de ministres, de ministères totalement orientés et les plus riches (écologie, éducation nationale), moyens de pression (subventions) budgets et de puissance médiatique assez faramineuse, de lois et obscurcit le bon sens.
Les mots mêmes employés sont stupides.
A la place d’agriculture conventionnelle, la caste utilise le mot agriculture industrielle.
Les « pesticides » « ou »produits chimiques" sont des produits de traitement.
Comme le chlore dans l’eau.
A faible dose les pesticides n’ont aucun effet sur l’homme, et l’agriculture conventionnelle a sortie de la famine et de la mauvaise alimentation des milliards d’individus.
Le bio n’est pas meilleur, c’est juste un luxe pour bobos qui acceptent sans réfléchir les bombardements médiatiques et leurs études orientées douteuses qui arrange les faiseurs de taxes et les subventionnés.
Vous pouvez boire de l’eau de votre robinet avec du chlore (insecticide puissant neuro-toxique à haute dose) ou avoir le luxe d’aller chercher votre eau à la montagne.
C’et exactement pareil entre le conventionnel et le bio.
Le conventionnel est très bien. Le bio est un luxe pour bobos.
Le drame, de plus en plus visible dans cette écologie, c’est la destruction industrielle, économique et les régressions de pouvoir d’achat et d’emprise de l’état que cela engendre.