Effectivement l’auteur a raison.
On ne sait pas, et le réchauffement n’est pas une vérité mais une hypothèse modélisée.
Une hypothèse ou c’est fourvoyé l’élite, l’etablishment et leurs églises les médias et leurs sermons quotidiens.
Reposer pragmatiquement la question de l’influence du CO2 sur le climat a tellement d’implications et d’intérêts pharaoniques que le débat est atomisé, écrasé par les intérêts de la nomenklatura d’état.
Chacun peut remarquer que remettre en cause l’hypothèse modélisée du GIEC, c’est comme ,expliquer au Cardinal de Paris que dieu n’existe pas.
Imaginez la caste devant la destruction économique, les milliards dépensées en pure perte de la « transition énergétique » leur démontrer que cette planification d’état est une planification de type communiste, que Mao ne renierait pas.
Expliquer que construire des éoliennes qui produisent à 82€ le kw/h avec l’argent du contribuable sur un marché ou le prix réel est à 35€ du kw/h c’est comme expliquer à Mao que la planification qui a obligé a créer de l’acier avec des vielles gamelles ne donne jamais un acier utilisable.
Les implications sont terribles si nous revenons au pragmatisme, et que nous prenions les modèles théoriques du GIEC pour ce qu’ils sont.
Des modèles hypothétiques empiriques et aucunement une certitude ou une réalité...
Le climat et les températures ont tellement d’agrégats, que le prévoir, c’est comme demander de prévoir l’économie et la parité du dollar en 2050.
L’élite c’est fourvoyée, en prenant ces hypothèses pour argent comptant. Elle engendre un tel impact économique social qu’elle ne pourra jamais l’admettre.