@ impat
« Réchauffement présent ou pas, dû à l’activité humaine
ou pas, rien n’est strictement démontré. Cependant une chose est établie :
la proportion de CO2 dans l’atmosphère augmente ».
« Peut-être vrai, mais parmi les
« climatologues » affirmant cette donnée avec une belle assurance,
combien se sont penchés réellement sur le problème et sont arrivés à des
conclusions indépendantes ? »
Très bonnes réflexions..
Effectivement, le réchauffement
est assis sur un postulat. Et comme vous le faites remarquer rapidement, Le GIEC
n’est en fait qu’un groupe de quelques personnes une trentaine qui n’emploi
aucun chercheur et qui le proclame dans
sa présentation. Je cite « le GIEC n’a pas pour mandat d’entreprendre
des travaux de recherche ni de suivre les variables climatologique ou d’autres paramètres
pertinents SIC »
La réalité peu connue, ou passée sous silence par les « moutons médias » est la suivante, et
je défie quiconque de me prouver le contraire.
La mission du groupe
GIEC, DONT la dizaine de permanents, stationnés à Genève, dans les locaux de l’Organisation
Météorologique Mondiale, est de réunir les
articles parus dans la presse scientifique et
uniquement ceux qui peuvent démontrer
l’incidence du CO2 anthropique sur le climat. Les autres experts, environ 2500,
sont des chercheurs des professeurs disséminés aux quatre coins du monde, et
qui relisent bénévolement les résumés qui sont proches de leur conviction ;
c’est ce qu’on appelle un travail de comité de lecture.
Une vingtaine de réunions sont programmées chaque année un peu
partout sur la planète, pour faire plaisir à tout le monde et on fait le point
sur l’avancement de la compilation.
Les discussions portent essentiellement
sur l’intérêt d’inclure ou d’exclure tel ou tel article, en privilégiant
bien sûr, ceux qui vont dans le sens du CO2 anthropique responsable unique du réchauffement.
La dizaine de permanents du GIEC de permanents, diffusent environ
tous les 4 ans un « résumé à l’intention des décideurs » ainsi qu’un catalogue de mesures ou les décideurs
peuvent piocher des idées et de arguments tous prêts, du genre : «
les politiques qui produisent un prix réel ou implicite du carbone pourraient créer des incitations pour les
producteurs et consommateurs à investir d’avantage dans les produits technologiques
et processus sobres en gaz à effet de serre »
Notez le « pourrait créer » qui
rapidement, par l’effet performatif des médias, devient du « vont créer »
Voici un autre exemple, plus récent en lien ou on retrouve la
même forme de conseils avec l’emploi très présent du conditionnel ;
Ex : https://www.ipcc.ch/pdf/session48/pr_181008_P48_spm_fr.pdf