Que se vayan todos !
Dans une atmosphère d’hystérie et de paranoïa collective, les récits des autorités ou/et autorisés n’ont pas besoin d’avoir de sens ou de résister à n’importe quel examen approfondi. Leur but premier n’est pas de tromper, mais plutôt de délimiter un territoire idéologique acceptable, d’expression et d’émotion auquel les gens « normaux » doivent se conformer. Au-delà des limites, se trouvent les ténèbres extérieures de « l’anomalie » et de « l’extrémisme », dont aucune personne « normale » ne veut. Pour éviter d’être jeté dans cette obscurité extérieure, les gens se conformeront aux absurdités les plus absurdes et paranoïaques que vous pouvez imaginer.
Les classes dirigeantes le savent, et c’est pourquoi elles s’en moquent si vous réfutez leurs récits sur Twitter ou sur un site web « déshonorant » qu’ils ont rendu pratiquement invisible de toute façon. Ils ne discutent pas des faits ou de la vérité ... ils marquent les limites de ce territoire « normal » et attirent des gens effrayés.
-Qui êtes-vous ?
Qui je suis s’ensuit de ce que je suis :
Un homme masqué.qui a demandé 2 fois ,au site de me vitrifier,que neni,même V n’aurait pas rêvé mieux
- J’avais vu.
Certes.Tu es observatrice,
mais je trouve paradoxal de demander
à un homme masqué qui il est.
- C’est juste.
Mais en cette soirée si propice,permets-moi,
en lieu et place de sobriquet,
de suggérer la personnalité du protagoniste.
pauvre vétéran du vaudeville, successivement voyou et victime
via les vicissitudes de la vie.
Ce visage, non pas un vil vernis de vanité,
est un vestige de la vox populividée, volatilisée.
En revanche,cette vieille vexation
s’est vivifiée et se voue à vaincre la vénale
et virulente vermine visant le vice
et la vorace violation de la volonté !
Seul verdict valable : La vengeance.
Une vendetta,
un vœu non vain,
car sa valeur et sa véracité
valideront vite les vigilants et vertueux.
Vrai, cette vichyssoise verbale
vire verbeuse,
je finirai donc
en me disant fort honoré
et tu peux m’appeler X. c’est après W
- Vous êtes un peu dérangé ?
Je gage qu’ils le diront.