@papat
Votre revisite de l’histoire est indécente. Arrêtez la messe !
La CGT et le PCF ont au nom du pacte germano-soviétique ont détruit l’effort de guerre des français en bousillant les usines d’armement et ne sont entrés en résistance qu’au moment ou l’URSS a été attaqué.
Les enculés de communistes à Paris ont proposé leur services aux Allemands à leur arrivée à Paris
Les conventions collectives sont des propositions libérales et certainement pas d’une initiative communiste.
la sécu a été initialisée
Le 2 juillet 1906, le député libéral Gaston Doumergue déposa un projet de loi autorisant la création de conventions collectives. Le congrès de la CGT prit parti contre cette proposition.
Ce que vous devez aux libéraux :
La loi du 28 mars 1841 interdisant le travail des enfants de moins de 8 ans et limitant celui des enfants de 8 à 12 ans fut introduite par le libéral Charles Dupin.
Le 17 novembre 1849, à l’Assemblée, Frederic Bastiat propose un amendement qui autorise les syndicats ouvriers et la grève, la grève sans violence bien entendu. Il ne sera pas voté à cause des socialistes. Elle le sera plus tard par la loi de 1864, sous proposition du libéral Emile Olivier, premier ministre et ministre de la justice.
La proposition de loi pour l’existence syndicale a été déposée en 1876 par le député libéral Édouard Lockroy. Mais elle fut combattue pendant 8 ans par les socialistes. Poussée par le ministre de l’intérieur libéral Waldek Rousseau, elle devint la loi du 21 mars 1884.
Le 2 juillet 1906, le député libéral Gaston Doumergue déposa un projet de loi autorisant la création de conventions collectives. Le congrès de la CGT prit parti contre cette proposition.
À partir de 1908, c’est encore sous l’impulsion des libéraux que furent créées les premières caisses d’épargne. Comme elles étaient privées, elles ne rencontrèrent que sarcasmes de la part des socialistes.
L’esclavage a été aboli une première fois en 1794 sous la pression des libéraux Condorcet et La Fayette. Rétabli par Napoléon, il a de nouveau été aboli en 1848 grâce aux efforts des libéraux, en l’occurrence Tocqueville, Montalembert et Victor Schoelcher.