@ Garibaldi2
Le moment est à la décompensation. Le peuple humilié a la rage et il semble que l’ennemi du peuple veuille attiser cette rage. Pour quelle raison ? D’une part, dans un but dilatoire et d’autre part parce que cet ennemi ne craint pas le peuple.
Ivre de ses premiers succès, le peuple se focalise sur une figure, celle de Macron, inconscient qu’il se dresse face à une entité. Dans cette ivresse, le peuple prête à cette entité les qualités médiocres de l’homme de paille.
Quelle est cette entité, au juste ? Pour fonder un Etat, l’Histoire nous révèle qu’il n’y a pas 36 solutions : on envahit une contrée et on l’annexe ; on investit une terre et on se l’approprie. C’est toujours par la violence. Or, nous nous trouvons ici face à une entité qui a quasi réussi le tour de force de fonder un nouvel Etat sans tirer un coup de feu, sans qu’on s’en aperçoive et quasi avec l’assentiment du floué. Quand on veut mener la guerre, il faut tout de même estimer correctement l’ennemi et c’est un très grand joueur qui se trouve en face.
Je ne sais si vous avez entendu parler d’eurogenfor, la faculté qu’ont les forces de police des pseudo pays frères de venir garantir le Marché, ce machin qu’ils ont voulu ériger en nouvel ordre public. La simple existence de ce genre de curiosités juridiques indique que l’entité en question a prévu le moment où son prodigieux pouvoir de suggestion s’évanouirait.
Et bref, la réalité est que le peuple a des tas de fer aux pieds et que le renversement de la marionnette actuelle n’est qu’une plaisanterie comparée à ce qu’il y a ensuite. Il ne faut pas se leurrer, on a pris soin de bien ligoter le peuple.