Bonjour
Alexandre, cet article en quelque sorte complémentaire du précédent
un peu plus ’’salé’’, pose le problème essentiel de savoir si
demain ; samedi 8 décembre, le pouvoir et son représentant
principal disparu des radars, peut gagner
?
’’’Ainsi, pour
le pays, une nouvelle phase de la crise pourrait donc s’ouvrir. La
« victoire » de Macron et du Système à Paris le 8
décembre, loin de résoudre le problème, l’auraient donc encore
amplifié. Et le pire serait donc à venir... ’’
Comme vous le soulignez, dès le
départ la
communication
mainstream sur les GJs fut catastrophique. Les éléments
de langage, seul
repère valable chez nos élites définitivement
hors-sol, ont été bâclés par ces magiciens
tocards qui entendent expliquer aux gens qui crèvent de faim comment
se passer de nourriture joyeusement. Osant
affirmer que ; grâce à l’effondrement économique auquel ils
participent activement, la
situation va s’améliorer.
Sarkozy-Hollande-Macron ;
Les 3 derniers prototypes one-shot c’est-à-dire jetables, à usage
unique car in-réélectibles, surtout
le petit dernier qui bien que
désintégré politiquement après 1 an demi, compte
quand
même accélérer
(tant qu’il peut) ses
réformes avant de se
tirer vite fait sous les remerciements supposés de ses sponsors
(c’est pas gagné), et les huées du peuple dont il n’a rien à
faire.
En 68 De
Gaulle ; voyant qu’il n’avait plus la majorité (47% d’opinion
favorable) a choisi de partir, là on est à 15% et au lieu de
dégager et de
proposer une élection anticipée, macron s’accroche, provoque le
peuple en l’ignorant et compte mater la rébellion à coup de canon.
Mais plus personne n’y croit.