Si on
veut pousser l’analyse un peu plus loin
en matière climatique, Il est sûr que l’alarmisme climatique, déclenché
par les « GIEC mens », dans leurs « résumé
à l’intention des décideurs », établi
tous les 4 ans, est une des causes de toutes ces mesures à caractère
pseudo écologique, Celles-ci justifiant
les taxes par les gouvernements, en jouant sur la culpabilité des citoyens.
Ces
mesures sont assises essentiellement sur le postulat CO2 anthropique responsable principal du réchauffement, et des études pas
toujours rigoureuses dénoncées par de nombreux scientifiques.
Je rappelle
encore une fois les écrits de vrais responsables comme Richard Lindzen , Roger Pielke,
ou Vincent Courtillot , tous scientifiques de haut rangs, que l’on veut mettre au
placard médiatique, en les traitant de climato sceptiques, pour avoir osé émettre
des doutes sur les rapports du GIEC et contredire la doxa, et ce depuis le
milieu des années 2000.
Avouez que
l’on se retrouve à peu de chose près, dans la même situation qu’à l’époque de ce
pauvre Galilée.
Et puis
pourquoi toujours présenter le réchauffement comme une chose catastrophique ? De
toute façon, il faudra s’y adapter, et je trouve un peu prétentieux, ces gens
qui prédisent l’apocalypse, en s’appuyant sur des projections mathématiques
dont beaucoup de paramètres sont sujets à caution. Tout le monde du vivant s’adaptera
comme il l’a toujours fait depuis des millénaires.
En attendant ce genre de prédictions sont à l’origine
de l’élément déclencheur du « merdier actuel », à savoir la taxe
carbone.
(1) « Roger
Pielke " La rigueur scientifique des
analyses diffusée par le GIEC, a été sacrifiée et il va inévitablement en
découler des décisions politiques inadaptées."
(2) Richard Lindzen
« il est souvent avancé, qu’en matière de
science, la vérité finira toujours par émerger. C’est peut-être bien vrai,
mais, jusqu’à présent, les tentatives pour étudier objectivement la science du
changement climatique ont été largement forcées de cacher les vérités
pouvant remettre en question l’alarmisme du réchauffement climatique (même
seulement, implicitement). Le moyen habituel de publication est le
processus de revue par les pairs (NDT : Peer-review) et les modifications
demandées sont généralement acceptées pour qu’un article soit publié. La
publication est, bien entendu, essentielle pour l’obtention des crédits, des
promotions, etc. Les exemples qui suivent ne sont que quelques-uns que je
connais à titre personnel, parmi d’autres…. »