@Papybom
L’image des recettes des dépenses et de la dette est pas mal, on ne tient pas compte de l’inflation et de la croissance ni de la planche à billet
Depuis 2008, une parti des recettes a été remplacé par la dette (avant ce n’était pas le cas), la BCE joue maintenant un rôle de recette qu’on ne remboursera jamais.
Cette perte de recette c’est fait principalement sur la taxation du travail, le cice, le cir, la taxe professionnel, ...
Mais aussi sur moins de taxations des riches, isf, niche fiscal, ...
Depuis 2008 les patrons et les riches participent moins à l’effort national, leur contribution étant remplacé en grande parti par la BCE.
Sauf que la BCE joue les donneurs d’ordre maintenant sur sa participation et au lieu de retaxer les riches et les patrons, c’est le peuple qui doit payer, en diminuant les dépenses (moins de fonctionnaire, d’école, entretien des route, d’hopitaux, de policier, etc ...)
Mais le peuple doit également payer en augmentant les recettes (augmentation des taxes, du cout de l’énergie, du transport, ...)
On arrive à une situation ubuesque car moins le peuple a de revenu et moins il dépense sur les marchés, moins il y a de dépense sur les marchés et moins les entreprise produise, moins de production donne moins de revenu au gouvernement et plus de chômeur, moins de revenu et plus de prestation social augmente l’emprunt et l’emprunt exige une baisse des revenus du peuple
Et la boucle et bouclé, bienvenu dans la spirale bancaire de l’appauvrissement de la nation.
Solution :
— Retaxer le patronat et les riches
— Envoyer promener la BCE