@jalin
En quoi « le Monde » serait-il une référence, en matière
climatique ? Comme dans d’autres domaines ce journal, que j’ai pourtant
suivi jusque dans les années 2000, est devenu le diffuseur de la pensée unique économique
et sociétale, repère de la bien pensance, bref au service caché de la politique
néo libérale et de finance internationale entre les mains de X Niels et M Pigasse.
Plus crédible du tout. Entre ce genre de presse, et les réseaux sociaux FB
twitter and co, les citoyens de bon sens sont bien mal lotis.
Pour en revenir au CO2 anthropique, érigé en « maitre
incontestable du réchauffement » par les équipes du GIEC, Force est de
constater que le virus a bien pris. Et pourtant !!!
Des scientifiques de haut vol comme Vincent Courtillot (1)
en France, (,2) Roger Pielke, Richard Lindzen, aux l’US, ne cessent de mettre
en garde depuis la fin des années 2000, sur l’alarmisme inconscient délivré par
le GIEC et ses relais.
Rappels sur le GIEC
Il n’entreprend pas
de nouvelles recherches ni n’assure la surveillance des données liées au
climat. Il procède plutôt à des évaluations de l’état des connaissances sur
les changements climatiques, sur la base de la documentation scientifique et
technique publiée et ayant été soumise à un examen collégial
L’alarmisme
climatique fait vivre des milliers de fonctionnaires, onusiens ou ministériels
du monde entier, GIEC compris, des milliers de chercheurs, des labos.
Les crédits de recherche sont directement proportionnels à l’alarmisme des
chercheurs.
Les crédits de recherche de la NASA pour les sciences du climat, ont ainsi été
multipliés par 10 en 20 ans :
200M$/an en 1990 => 2Md$/an en 2010.
.
Pourquoi ces gens iraient tuer la poule aux œufs d’or, en avouant que l’homme
n’a en réalité que peu d’influence sur l’évolution du climat, et que les
changements climatiques sont essentiellement gouvernés par la variabilité
naturelle (cycles solaires & océaniques notamment) ?.
Mais il n’y a pas que les chercheurs et les fonctionnaires qui vivent de cet
alarmisme.
Certains politiciens ont aussi bâti des fortunes grâce à lui. Le plus connu est
Al Gore, qui a fait fortune avec sa société spécialisée dans le système de
« cap & trade », c’est à dire d’échange de droits d’émission de
CO2, profitant de mécanismes qu’il avait activement contribué à mettre en place
lorsqu’il était vice-président des USA.
.
D’autres politiciens, sans en tirer de fortune personnelle, utilisent
l’alarmisme climatique pour mettre en place de nouvelles taxes, comme la taxe
carbone, tout en s’assurant l’adhésion populaire.et en jouant sur la
culpabilité du citoyen.
Un grand géophysicien
Vincent Courtillot, remarquable de pédagogie. Conférence sur le climat à
l’université de Nantes en 2009 https://youtu.be/uXeRbbM2AjY.
Roger Pielke Sr
est professeur de Climatologie et directeur d’un groupe de recherche du
Cooperative Institute for Research in Environmental Sciences de
l’Université du Colorado : (le « Pielke
Research Group »). Son expertise,
mondialement reconnue, couvre un spectre très large. Elle va de la modélisation
des ouragans aux interactions terre-atmosphère en passant pas l’influence de
l’utilisation des sols sur le climat. Sans aucun doute, R. Pielke
Sr est, à côté d’autres grandes personnalités comme
Richard Lindzen, une des sommités de
la recherche en Climatologie http://www.pensee-unique.fr/lindzen.html.