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Commentaire de charly10

sur L'urgence climatique, un leurre ?


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charly10 19 décembre 2018 13:52

@Dudule

Je connais cet épisode de conflit en 2007 2008 qui avait opposé Courtillot à Edouard Bard. Mais cela date de 10 ans .Aujourd’hui les thèses solariste H Svensmark, ont été validées après bien des déboires par l’expérience CLOUD au CERN en 2015 2016. Le problème de ce genre de recherches est le coût et la démarche qui demande un temps certain et du financement pas toujours évident lorsqu’on ne va pas dans les sens de la doxa.

Par comparaison le CO2 se mesure facilement, d’abord par la méthode Pettenkofer, jusque dans les années 50 puis en 1959, la méthode de calcul adopta la spectrographie par infrarouges lors de l’établissement de la station de Mauna Loa (Hawaii) et les mesures furent comparées avec un échantillon de gaz comme référence.

Par contraste avec la méthode Pettenkofer, la spectrographie par infrarouges est simple, rapide et peu coûteuse. La méthode par les infrarouges n’a jamais été corroborée par la méthode Pettenkofer. Les données brutes de Mauna Loa sont « triées » par un opérateur qui supprime les données considérées comme imprécises. Quelque 82 % des mesures brutes de CO2 par infrarouges sont écartées ce qui ne laisse que 18 % de données brutes de mesures pour des analyses statistiques .Avec une telle élimination sauvage de données brutes, il n’est que trop aisé de démontrer une tendance prédéterminée. Dans les publications de Mauna Loa, les grandes variations naturelles de CO2 furent éliminées des données afin de mettre en valeur une courbe ascendante démontrant la contribution humaine croissante en CO2.
Le troisième rapport du GIEC de 2001 stipula que seules les mesures de CO2 par infrarouges peuvent être considérées comme valables et que toutes les mesures antérieures doivent être rejetées . Les mesures de CO2 atmosphérique depuis 1812 ne mettent pas en valeur un accroissement progressif de sa concentration au contraire des mesures de Mauna Loa. Le GIEC a choisi d’ignorer les 90 000 mesures précises de CO2 compilées en dépit du fait qu’il y ait un chevauchement dans les périodes de mesures par la méthode de Pettenkofer et celles de Mauna Loa aux infrarouges. Si l’on doit éliminer un large corpus de données historiques validées, il faut alors en donner une raison bien argumentée. Il n’y eut aucune explication émanant du GIEC. Juste le silence.

Ce sont des « bizarreries » qu’a découvert Courtillot et son équipe lors de leurs recherches.

Autre argument Monsieur Courtillot travaille pour Total .

 Ceux qui ne relatent que ce qu’ils ont lu vite fait comme argument, sortent régulièrement cette contre vérité. En fait, d’après France Inter, Total et Schlumberger participent au financement de l’Institut physique du Globe concernant un projet de piégeage du CO2 pour lutter contre le réchauffement climatique.

 Vous avez dit conflit d’intérêt ? Il aurait vraiment intérêt à insister sur le danger du CO2 pour justifier le financement d’un institut dont il n’est d’ailleurs plus le directeur depuis 2011 : donc une fois de plus n’importe quoi comme argument. Répondez aux arguments de façon scientifique : c’est ça le débat ; démonter la crédibilité d’un contradicteur n’est pas un argument scientifique mais une technique de désinformation enseignée par Lénine (mais vielle comme le monde quand on n’a pas d’argument)

 


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