@JC_Lavau
C’est tout le problème de l’inné, et de l’acquis qui est posé. Il est devenu impossible maintenant avec certains, certaines, d’avoir un discours serein. Tout serait culturel. Pourtant il est bien difficile de nier l’influence des hormones. La testostérone ne conditionne pas que l’agressivité des taureaux, mais aussi des mâles. Pour le meilleur et le pire d’ailleurs….De même la force des males, physique j’entend, n’est pas qu’un cliché. Sur antenne 2, il y a quelques jours, une équipe de journalistes s’indignaient qu’une femme ( n’ayant jamais tenu de pioche ni de pelle, mais prête à travailler disait elle) soit éconduite gentiment dans une boite d’intérim, alors qu’elle voulait bosser sur un chantier...Expérience menée à leur grande colère plusieurs fois, et se soldant par le même résultat qui semble évident : Un patron préférera embaucher un type costaud, qu’une jeunette de 45 kg pour se servir d’un marteau piqueur. On n’est prié de ne pas rire…..Le militantisme est une chose, mais devient une sorte de fanatisme religieux, quand il ne tient plus compte d’aucune réalité, lié au terrain aux acteurs. S’il y évidemment des faits parfois culturels, voir en cela la seule explication des choix de chacun chacune relève de l’acte de foi, pas de la pensée. Si tant de femmes sont dans les métiers du soins, c’est qu’elle ont des qualités évidentes d’empathie, de communication, et d’écoute. J’ai travaillé toute ma vie avec elle à l’hôpital pour l’apprécier, en tant qu’infirmières et médecins. Nous ne parlerons ici que des généralités bien sûr. Car certaines femmes ont des couilles, comme on dit. Mais je suis persuadé que si elles vont peu vers les métiers de pouvoir, à fort quotient de vanité, et de stress, c’est qu’elles n’aiment pas trop cela, tout simplement. Même si évidemment, elles posséderaient les qualités intrinsèques. Peut être que dans l’avenir, quand le pouvoir évoluera vers un ménagement humain, social et participatif, excluant l’ego surdimensionné, les femmes alors seront plus présentes dans les postes de pouvoir. Mais alors on ne les appellera plus comme cela. Tout est là .