Il faut remercier les chiens de garde du régime qui se comportent ouvertement comme ce qu’ils sont : des chiens de garde du régime.Tout devient plus clair, plus évident, grâce à eux.
Merci, donc, à Jean Quatremerdes de jouer cartes sur table. J’ajoute que je suis pour qu’il puisse dire exactement ce qu’il veut. Et insulter les gens qui ne sont pas de son bord. Car je suis pour une liberté d’expression aussi peu limitée que possible. Pas d’appel à la violence, pas de promotion de la pédophilie. Et basta. Et pareil pour tous les autres collabos du système : merci à eux d’être si clairement ce qu’ils sont.
Le moment venu, s’il vient, une des premières mesures à appliquer sera la fin des subventions à la presse en difficulté. Car, si je suis pour que Jean Quatremerdes puisse m’insulter, en revanche je suis contre le fait que mes impôts puissent servir à payer une partie de son salaire, si faible soit-elle, sans qu’on me demande mon avis.
Et tant que j’y suis, pareil pour les subventions aux associations aussi diverses et variées qu’inutiles et coûteuses, fruits pourris, voire parasites, de ce qu’on appelle la démocratie « représentative ». Les trois C : copains, coquins et clients. Un fric fou, comme dirait l’autre.