Faudrait aller vérifier dans le détail, mais en gros, là ou il y a des gilets jaunes, les loyers sont en baisse...
A cause de la crise qui touche les villes moyennes et la ruralité.
Souvenez vous par exemple de l’exemple de Vichy, qui a suivit les normes de construction de logement sociaux, et qui même en baissant sans arrêt les loyers, ne trouve pas de volontaires pour aller y vivre.
En 2017, les loyers ont baissé dans la moitié des villes de plus de 35 000 habitants ;
Les plafonnements ont été imposé dans les bons quartiers de grandes villes. Cela ne concerne évidemment pas les gens les plus pauvres ; Même plafonné, un loyer dans le quartier latin n’est pas accessible à un smicard. D’autant que la loi interdit la location de très petites surfaces.
Mais habiter le quartier Latin n’est pas un droit de l’homme ; Les plaintes en la matière viennent de la classe moyenne supérieur, lectrice du Nouvel Obs. qui se plaint régulièrement de ne pas avoir accès pour ses enfants aux bons lycées du centre où enseignent leurs conjoints ou cousins.
La nécessité de plafonner les loyers dans le 6 ème pour permettre à des ministres écolos de mettre leur gosse à Lois le Grand n’est pas une problématique sociale.
Le nombre de place en logement d’urgence pour SDF es sensiblement équivalent au nombre de SDG permanent, mais il est spoilé en hiver par les migrants et en été par les jeunes européens qui s’en servent comme auberge de jeunesse, en particulier dans le sud.
Les législations très contraignantes pour les propriétaires sont à l’origine de l’essentiel des situations limites. Tu ne peux pas virer ceux qui ne payent pas, tu ne peux pas augmenter les loyers, tu ne peux pas récupérer ton bien, et entre les impôts fonciers, les impôts sur le revenu, les csg, les impayés, les droits de succession, il y a un moment ou assurer la maintenance d’un bien devient juste impossible.
Les contraintes sont telles que beaucoup de gens ne mettent pas en location par peur des ennuis
Le tout avec un budget au logement social considérable mais aussi un droit au dits logements qui fait que presque tous le monde pourrait les demander...
Il existe des proprios véreux, des locataires indélicats par pofession.
Mais les difficultés de logement en France sont au final essentiellement lié à des difficultés d’ordre bureaucratique.