@Pascal L
Bon pour la première partie je ne me sens pas assez compétent je laisse tomber. Toujours est-il que l’Esprit Saint n’a pas su inspirer la bonne traduction (si l’on vous suit bien) jusqu’à aujourd’hui quasiment.. ça fait un peu désordre quoi.
Sur ma citation de Marc, et je m’y attendais, vous tordez carrément le texte.
Vous me demandez d’aller lire d’autres références, je n’ai pas trop la patience.
Alors, qui a peur ? Jésus ? c’est invraisemblable. Celui qui n’a pas eu peur de la mort ne peut avoir peur des questions. Alors qui, sinon l’auditeur qui a peur
C’est vraiment du grand n’importe quoi destiné à faire collé le texte avec vos à priori philosophiques. La peur en question n’est rien d’autre qu’une figure de style bien évidemment. Ni Jésus, ni les personnes n’ont peur. (on a la même chose lorsque les Elohim veulent mettre à l’abri l’Arbre de Vie de peur qu’Adam ne devienne immortel)
Car ce qui est dit là est qu’il ne faut pas que les gens de l’extérieur comprennent de quoi il s’agit, donc on leur met un voile devant les yeux exprès (les paraboles) afin qu’ils ne se convertissent pas. Et pourquoi ne doivent-ils pas se convertir ?
Pardi, parce que la crucifixion ne pourrait pas avoir lieu.
C’est à mettre en parallèle dans l’AT avec Yahvé qui endurcit le cœur de Pharaon afin d’obtenir ce qu’il veut.
Ce que vous reprochez, soit dit en passant, aux musulmans qui ont un Dieu qui sauve ou égare qui il veut. Ben cette idée il ne l’ont pas inventé, ils l’ont puisé directement dans l’AT.
Et Jésus reprend ici cette idée en montrant que lui aussi il sauve et condamne qui il veut.
Et c’est la raison pour laquelle, comme vous dites, la deuxième partie du verset 12 est omise à la messe, ce qui montre bien la gêne des ecclésiastiques devant ces versets. Ce qui est une manipulation. Bon c’est pas la première on a l’habitude..
Bref, tout cela concorde avec l’absence de libre arbitre ce qui va à rebours bien évidemment avec la dogmatique romaine qui affirme le contraire.