J’ai lu aussi qu’un bon roman sans mort ou meurtre est mauvais. Dit à l’« eau de rose »". Le problème n’est pas dans la bible mais celui qui la lit. Ce n’est pas la carabine qui tire, mais le doigt qui est sur la gâchette. Je viens de relire un interprétation du mythe d’Oedipe par l’astrologie (Titre un peu con-con mais qui est entré dans l’inconscient collectif : les hommes viennent de mars-agressivité et les femme de vénus-amour, séduction, l’un étant souvent lié à l’autre. Pour ceux que cela intéresserait : Les 144 facette du zodiaque (l’horloge cosmique et la mythologie grecque). Entre le fantasme et la réalité. D’une certaine manière, il me semble important d’évoquer la notion ou pulsion de meurtre dans un récit. On dit du psychotique qu’il prend le mot pour la chose. Exemple : il voit le mot : mort et il se mord dans son bras. N’oublions pas les différents niveaux de la Bible dont le premier commandement est : tu ne tueras point. Certains diront : mais c’est comme un double-bing (un feu vert avec un panneau qui dit stop). Ou les parents qui vous disent : fais ce que je dis et pas ce que je fais.
La bible est pour moi un excellent récit qui laisse le lecteur libre de ses choix et certainement pas un pousse au meurtre. C’est l’éducation qui a le devoir de dévier les pulsions sexuelles (viol-inceste) ou meurtre. Et la bible est un bon outil pour réfléchir sur la différence entre fantasme et réalité. Exemple tu haïras tes pères et mères. Oui, un enfant doit quitter ses parents, même si ceux-ci jouent le chantage au suicide (plus fréquent qu’on ne l’imagine),...Qui est alors le plus pervers des deux. Celui qui n’autorise pas son enfant à VIVRE sa vie ou l’enfant qui a malgré lui des pulsions de meurtres (couper le cordon ombilical de manière symbolique).