MANDAT D’ARRÊT
Pour haute trahison, atteinte à la sûreté de l’Etat et crime contre l’humanité,
La « Cour Suprême » de justice de France, créée pour représenter la
« Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen », et animée
exclusivement par des citoyens non professionnels, délivre ce jour, 10
novembre 2018, au nom du peuple de France représenté par tous les
signataires, ce mandat d’arrêt concernant Emmanuel Macron, né le 21
décembre 1977 à Amiens, fils de Jean-Michel Macron et Françoise Noguès
pour,
- « Haute trahison » : violation de l’article 9 du préambule de 1946
du bloc de constitutionnalité, en raison de la vente illégale de biens
du patrimoine national. Tentative d’établissement d’une dictature
absolue par la loi n° 2017-1510 du 30 octobre 2017 visant à supprimer
les droits « sacrés, inaliénables et imprescriptibles » pourtant
garantis par la plus haute instance juridique de France : La Déclaration
des Droits de l’Homme et du Citoyen.
- « Atteinte à la sûreté de l’état » : organisation d’un programme
d’immigration mettant tous les Français en état d’insécurité, en danger
de guerre civile, et ce, en violation du « droit à la sûreté » dont
toute association politique est pourtant garante (article 2 de la
déclaration des droits de l’homme et du citoyen).
- « Crime contre l’humanité » : le Décret n°2018-42 du 25 janvier
2018 obligeant à la vaccination annule le « Droit Parental », fondement
de la civilisation humaine. De plus, les études préalables révélaient
que les produits injectés affecteraient gravement l’état de santé mental
et physique des enfants, c’est donc en toute conscience qu’Emmanuel
Macron a usé de son pouvoir pour préjudicier à la vie de centaines de
milliers d’enfants français.
Ce mandat d’arrêt est étendu à Edouard Philippe, Agnès Buzyn,
Jean-Michel Blanquer et Annick Girardin, co-signataires du décret
relatif à la vaccination obligatoire ; et à tous les autres membres de
ce gouvernement dont il est avéré qu’ils ont participé activement à
trahir la France et les droits fondamentaux et inaliénables des
Français.
Pour exécution dudit mandat, nous mandons et ordonnons à tous
officiers ou agents de la Force publique de rechercher, arrêter et
conduire chacun de ces individus à la Maison d’arrêt de Fleury-Mérogis
pour être mis à la disposition de la justice, comme l’état de droit
l’exige.
Compte tenu du fait que ces individus disposent de nombreux complices
dangereux et sont soupçonnés d’appartenir à des réseaux occultes ayant
phagocyté plusieurs services des institutions nationales, il est
expressément recommandé aux agents de la force publique d’intervenir en
collaboration avec les services des forces armées de l’état, civiles ou
militaires, respectueuses de l’état de Droit et fidèles à la
Constitution.
Pour que la Force serve la Justice, le Peuple et la Souveraineté de la Nation Française.