@pipiou
Bonjour,
Avant de parler de mensonges il faudrait que vous compariez des éléments comparables et il semble que vous ayez quelques difficultés pour le faire.
Ai-je dit qu’il n’y avait pas eu d’emprunt avant 1973 ?
Il y eut celui de 44, puis celui de 52 (Pinay), celui de 56 (Ramadier), puis de nouveau celui de 58 (Pinay).
Ces emprunts avaient pour objectif la stabilisation et de redresser le pays au sortir d’une période où il était en ruine économiquement et ainsi d’investir dans le futur (infrastructures, nucléaire etc…)
Rien à voir avec les emprunts d’après 73 qui progressivement ont eu comme objectif, d’équilibrer le budget de l’état et de payer aux banques privées des intérêts exponentiels qui culminent depuis plusieurs années à plus de 42 milliards par an.
Maintenant, parlons des bénéficiaires des emprunts passés. Le Trésor de l’époque indiquait qu’il était rentable surtout pour les particuliers investissant dans cet emprunt.
Aujourd’hui, les particuliers en profitent-ils ? NON.
Les seuls bénéficiaires, depuis 1973, sont exclusivement les banques privées à qui, nous contribuables, devons la modique somme de 2.300 milliards €
Quelques citations qui devraient, je l’espère, vous aider à mieux comprendre ce monde de l’usure :
« Lorsqu’un
gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers,
et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la
main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. […]
L’argent n’a pas de patrie ; les
financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de
décence ; leur unique objectif est le gain. » Napoléon Bonaparte, (1769-1821)
« Les
quelques personnes qui comprennent le système (argent et crédits) seront soit
tellement intéressées par les profits qu’il engendre, soit tellement
dépendantes des faveurs qu’il conçoit, qu’il n’y aura aucune opposition au sein
de cette classe.
D’un autre côté, les personnes
incapables d’appréhender l’immense avantage retiré du système par le capital
porteront leur fardeau sans se plaindre et peut-être sans même remarquer que le
système ne sert aucunement leurs intérêts » Rothschild
Brothers of London
« Jusqu’à ce
que le contrôle de l’émission de devises et de crédit soit restauré au
gouvernement et reconnue comme sa responsabilité la plus flagrante et la plus
sacrée, tout discours sur la souveraineté du Parlement et la démocratie est
vain et futile…
Une fois qu’une nation abandonne le
contrôle de ses crédits, il n’importe plus qui fait ses lois…
L’usure, une fois aux commandes, coule n’importe quelle nation. »
William Lyon Mackenzie King, ex-premier ministre du Canada
« Le
gouvernement devrait créer, émettre, et faire circuler toutes les devises et
tous les crédits nécessaires pour satisfaire les dépenses du gouvernement et le
pouvoir d’achat des consommateurs.
En adoptant ces principes, les
contribuables économiseraient d’immenses sommes d’argent en intérêts.
Le privilège de créer et d’émettre de la monnaie n’est pas seulement la
prérogative suprême du gouvernement, mais c’est aussi sa plus grande
opportunité »
Abraham Lincoln, président des Etats-Unis, assassiné
« Toute la perplexité, la confusion, et la détresse en Amérique ne provient pas des défauts de la Constitution ou de la Confédération ni du désir d’honneur ou de vertu, mais de notre ignorance profonde de la nature des devises, du crédit, et de la circulation. »
John Adams, père fondateur de la Constitution américaine
« Il n’existe pas de moyen plus efficace pour prendre le contrôle d’une nation que de diriger son système de crédit (monétaire). »
M. Phillip A. Benson, Président de l’association American Bankers’ Association, 8 juin 1939
« Le gouvernement devrait créer, émettre et favoriser la circulation des monnaies et des crédits nécessaires à la satisfaction du besoin de dépense du gouvernement et du besoin d’achat des consommateurs.
L’adoption de ces principes doit permettre aux contribuables d’économiser le paiement d’un gros volume d’intérêts. L’argent cessera de gouverner et se mettra au service de l’humanité. »
Abraham Lincoln, Président des Etats-Unis
« Permettez-moi d’émettre et de contrôler les ressources monétaires d’un pays et je me moque de celui qui écrit ses lois. » Rothschild
01/02 18:33 - axiaman
La dette est un sujet crucial pour comprendre nos troubles socio-économiques. Toutefois, une (...)
15/01 18:35 - julius 1ER
il faut rappeler quand même qu’en Suisse il y a 2 ans maintenant l’Initiative (...)
15/01 18:24 - julius 1ER
@Roosevelt_vs_Keynes excellente réflexion, d’ailleurs la question avait été posée après (...)
14/01 20:07 - Odin
@pipiou Vous continuez dans l’absurde, c’est fatiguant. « Pourquoi emprunter à (...)
14/01 11:47 - Axelle Hamilton
@reprendrelamain Merci pour votre réflexion. Pour que l’idée de diriger à nouveau (...)
14/01 10:08 - reprendrelamain
Article pas très étayé mais dans l’idée très intéressant. Je pense que tout ce qui est (...)
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération