Les progressistes prônent que l’égalitarisme et la liberté individuelle ne s’obtiendront que par la destruction de la toute puissance de l’homme blanc européen, oppresseur colonialiste des minorités ethniques, des musulmans, des arabes, des noirs, des femmes, des gays, des lesbiennes et autres transgenres.
L’objectif est donc de déconstruire la civilisation européenne : c’est-à-dire anéantir le christianisme, la famille, la hiérarchie, le patriarcat, la nation, l’armée, la police, l’élite culturelle, le bien commun, le mérite scolaire, l’art figuratif, la littérature, tout ce qui émane de l’homme Blanc.
Ce but idéologique converge avec les intérêts des lobbys industriels, bancaires et financiers visant à instituer l’homme nomade consommateur, main d’oeuvre bon marché interchangeable sur toute la planète.
La globalisation, la mondialisation, la construction de l’UE sont actuellement freinés par les pays ayant une population homogène encore trop blanche désirant préserver leur identité, leur culture, leurs moeurs (Pologne, Hongrie, Tchéquie, Slovaquie,...), et qu’il faut affaiblir à coup de millions de migrants (ceux qui refusent les quotas de migrants sont sanctionnés par l’UE).
Cette politique est maintenant officiellement enseignée aux jeunes Français dans nos écoles, car l’UE mondialiste ne pourra se construire qu’avec une Europe noire.