Merci pour cet article ; Nous sommes nombreux sur ce
blog à être très critiques sur le rôle du GIEC, et a peu de chose près, d’accord
pour mettre en doute le rôle supposé prépondérant du CO2 dans le réchauffement
climatique.
Cette théorie n’est valable que parce qu’on a admis par
postulat, que le CO2 est l’élément essentiel du réchauffement. Lorsque on s’attèle à rechercher dans les méandres
de ces décisions prises depuis le protocole de Kyoto en 1998, et que l’on s’extrait
de la pensée unique développée par le GIEC, on voit bien que la lutte contre le
CO2 proposée n’amènera que de faibles effets. L’argument CO2 unique responsable du réchauffement est
devenu un dogme.
Le CO2 n’est présent que pour 0.04 % dans l’atmosphère, il
était à 0.03 % dans les années 50.
C’est à partir de cette époque que l’on a commencé les
mesures réelles sur l’observatoire de Mauna Loa pacifique.
A partir de cette simple constatation, on fait le
rapprochement augmentation taux CO2
températures, par le levier effet
de serre. Car le taux de CO2 est facile à contrôler. Mais on exclut
toutes les recherches sur l’incidence solaire au prétexte que c’est très
difficilement mesurable. On ne sait pas, ou encore très peu ce qui se passe dans le fonds des océans ;
dernièrement des géologues canadiens ont découvert un océan d’eau chaude, peut être des sources chaudes sous la
calotte arctique. Comme vous le précisez, on ne prend pas en compte les
variations du climat engendrée par les épisodes el niño ,.car effectivement l’océan est le principal déterminant des variations du climat
Bref pas sérieux comme
travail, mais absolument verrouillé par le GIEC, dont la mission, définie dans
ses statuts, est de démontrer l’origine anthropique du réchauffement. Ces
gens-là excluent toutes études qui n’irait pas dans le sens de leur mission. On
peut comprendre, qu’il a derrière cette démarche une pérennisation souhaitée de
leurs emplois…mais je médis…
Faut-il rappeler le discours de la Méthode de DESCARTES :
"il faut commencer par mettre en doute tout ce que l’on croit
connaitre" Car le pire serait que la Science devienne une nouvelle religion
et ses experts de se prendre pour des Dieux. Nous y sommes !!!!
Au final il n’est pas besoin d’avoir peur du réchauffement
climatique pour mieux gérer notre environnement. Il n’est pas besoin d’avoir
peur des maladies pour mieux gérer notre santé.