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Commentaire de Pierre-Yves Martin

sur James Bond et l'après guerre froide (1989-1995)


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Pierre-Yves Martin 28 janvier 2019 18:31

Dans « Never say never again », ll y a l’humour à tous les niveaux, bien que parfois, il faut le reconnaitre, un peu potache (Q : « and 13 different brands of ice-cream ! »), des méchants qui ont un charme certain et quelques scènes d’anthologie : juste après le jeu « domination » il ne faut pas oublier le célèbre tango entre Sean Connery et Tim Bassinger.

Malgré quelques bizarreries (Palmyre sur la côte méditerranéenne), l’intrigue n’est pas plus mal ficelée que pour les autres, pour lesquels la vraisemblance est toujours le dernier des soucis. La fin est un plus faible mais c’est le cas de la plupart des films, et en particulier de la plupart des James Bond.

Il est vrai que Dr No fait exception par la sobriété du scenario.

J’ai aussi de l’estime pour « Demain ne meurt jamais » en ce qu’il exagère à peine le pouvoir de nuisance des medias associés à l’informatique. La scène ou E. Carver félicite en video ses cadres pour leurs méfaits, et en particulier l’éditeur de logiciel pour les bogues mis intentionnellement ( toute ressemblance avec des pratiques réelles, telles que les « backdoors » serai bien sûr fortuite !) sauverait à elle seule le film. il y a aussi les scènes spectaculaires et avec pas mal d’humour supposées se passer dans dans une ville du Viet-Nam.


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