@aimable = Je me permets d’apporter la contradiction à votre assertion, car certaines sociétés « tribales » ou ancestrales africaines (Hé oui) ou mésoaméricaines pratiquaientt l’auto-régulation, envisageant un territoire donné, et un nombre d’individus en parfaite adéquation avec la nature, calculant donc à l’avance le nombre maximum d’individus pour un territoire donné = Peux pas être plus claire (Pygmées, Mayas...).
Par ailleurs, le mythe (malthusien) de la surpopulation mondiale a été explosé d’abord par Pierre Kropotkine avec l’une de ses œuvres majeures « L’Entraide : un facteur de l’évolution » puis par de nombreux anthropologues Clastres, Sahlins, Demoule, Guillerm, Scott 1 & 2 ; Graeber aussi...
Qui a t’il derrière l’appel de Ted Turner pour une politique de « l’enfant unique » globale ?
L’oncle Ted a 5 enfants, mais lorsque le Nouvel Ordre Mondial sera
achevé au moyen de l’élimination économique de la classe moyenne, vous
serez sans doute forcés a être stérilisés pour argent comptant. Source Paul J Watson, décembre 2010 traduction Anarchix le gaulois ICI ;
Et à chaque fois, que quelqu’un laisse entendre que nous sommes trop nombreux sur Terre, comment ne pas penser au 1er des 10 « commandements » inscrits sur les « fameuses » pierres du« Georgia Guidestones » en 1980qui stipule que la population
mondiale ne devra jamais dépasser les 500 millions d’individus, ce qui
représente une projection de réduction de la population mondiale de
l’ordre de 95%. Il n’y a pas plus de « surpopulation » mondiale que de
réchauffement climatique anthropique ou de beurre en branche… Tout ceci
n’est que propagande eugéniste pour amener les peuples à accepter
docilement leur mise sous tutelle et sous esclavage total. Une
question à ceux qui sont d’accord que « nous sommes trop nombreux » :
Qui va décider si vous aller vivre ou mourir ? Accepterez-vous de partir
dans le train à destination de la Camarde ? 95% de réduction (pas sur le prix du billet hein ?..), ça vous laisse très très peu de chance de vivre. Ça vous va ? LÀ !
“Il n’y a pas le moindre doute que l’hésitation de bien des
biologistes pour reconnaître la sociabilité et l’entraide comme
caractéristiques fondamentales de la vie animale est due à la
contradiction qu’ils perçoivent entre une telle reconnaissance et la
dure lutte pour la survie malthusienne qu’ils considèrent être au plus
profond de la théorie de l’évolution darwinienne. Même lorsqu’ils sont
remémorés par Darwin lui-même dans son second ouvrage “La descendance de
l’Homme”, qu’il reconnaissait la valeur dominante de la sociabilité et
des sentiments “positifs” pour la préservation de l’espèce, ils ne
peuvent pas réconcilier cette assertion avec la partie que Darwin et
Wallace ont assigné à la lutte individuelle malthusienne pour le gain
d’avantages individuels dans leur théorie de la sélection naturelle.
[…]” ► Pierre Kropotkine
Qui sème l’injustice récolte le chaos...
Plantons-nous et en vous attendant, nous on sème...
JBL