@velosolex
"La répression crescendo montre que le pouvoir est désemparé face à ce mouvement qu’il n’’avait absolument pas anticipé
« .
Détrompez-vous.Il l’a très bien intégré dans ses calculs, rien n’étant laissé au hasard dans leur jeu qu’ils maîtrisent à la perfection pour avancer leurs pions et atteindre l’objectif qu’ils se sont fixés : le »nouvel ordre mondial « qui n’est rien d’autre que l’aboutissement de l’empire romain avec à sa tête un Macron ayant des airs de ressemblance avec un odieux personnage dont la dernière syllabe du nom et identique à la sienne...(Néron).
La France, jadis pays des Lumières, est passée du crépuscule aux ténèbres, faisant le deuil de sa liberté, éparpillée aux quatre-vents et défendue dans un élan salvateur par les »gilets jaunes« , horrifiés du constat.
Le pouvoir est d’autant moins désemparé qu’il organise sa défense par l’intermédiaire de ses milices para-militaires (Isis, Daesh qui fait du »bon boulot selon Fabius, Academi,Blackwater, forces spéciales et autres arrières-boutiques du mercenariat), la dernière en France étant l’eurogendfor, créée par l’ex-ministre de la défense (des intérêts particuliers de l’oligarchie) Alliot-Marie, dans le plus grand secret car ils ont anticipé le moment où les peuples, révoltés, descendront dans la rue comme ce fut déjà le cas dans les autres parties du monde (casques bleus), en Grèce, au Portugal, en Espagne et en Italie pour terminer par la France où le gouvernement a envoyé sa milice para-militaire de l’eurogendfor massacrer les opposants à ce gouvernement illégitime à l’aide des flashballs.
http://rustyjames.canalblog.com/archives/2013/08/20/27859801.html
Le pouvoir a aussi immédiatement, comme à son habitude, infiltré le mouvement afin de canaliser les énergies pour le maintien de leur caste aux commandes mais par contre il n’a pas vraiment compté sur la solidarité grandissante des français qui ont fini par commencer à comprendre qu’ à part la caste richissime fraudant et abusant, tous les français auront à pâtir de ce gouvernement, déjà dictatorial.